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  • Renaissance de la Société du Vril

    Renaissance de la Société du Vril
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    Notre nouveau logo!

    Vers la fin de la Seconde Guerre Mondiale,le 11 mars 1945,la Grande Guide de la Société du Vril,Maria Orsic,laissa ce message sur son bureau: »Nous devons tous partir! »

    Ce message adressé à ses supporteurs et membres était une suggestion de nos frères de l’espace,nos amis et visiteurs de l’étoile Aldébaran.

    Depuis,la Société du Vril est tombé dans une période de sommeil profond…pour ne se réveiller que vers 2012…l’année de l’Ère Nouvelle!

    Vers 2015,des membres russes de la Société du Temple Vril se réfugièrent en Russie et ouvrirent un nouveau site de sauvegarde en langue russe,croyant que Vladimir Poutine allait protéger leur droit de parole et leur vision différente du monde ,tel que géré par le Nouvel Ordre Mondial et le crime organisé!

    Mais ces membres russes avaient oubliés que Poutine était lui-même un ancien oligarque russe ,dissident des Illuminati qui s’éest allié aux Triades Chinoises et au crime organisé asiatique.

    C’est un multimilliardaire russe d’origine juive,proche allié et ami des sionistes d’Israël.C’est pourquoi ,Donald Trump était à l’aise avec lui!

    La guerre contre l’Ukraine avait commencé. en 2014,par des attaques de milice ukrainiennes contre le Donbass et le retour de la Crimée vers la Russie.Cette guerre s’est accélérée depuis le début de 2022 pour une multitude de raisons,dont les manigances de Joe Biden et de son fils pédophile…comme lui.

    L’éternelle beauté de Maria Orsic

    Vladimir Poutine,comme tous les dictateurs depuis le début des temps,cherche à éliminer toute forme d’opposition ou de vision ,même sociale ou historique différente de la leur!Seule leur opinion et leurs projets politiques ont une quelconque valeur à leurs yeux!

    La preuve est la suivante:depuis peu de temps,le grand site web regroupant un certains nombre de chercheurs et de penseurs sur les plans scientifiques et philisophiques a été fermé sur ordre de Poutine lui-même qui contrôle les médias en Russie!Ce site web avait pris le relais,il y a quelques années du même site qui opérait en Allemagne et qui avait été censuré et fermé par Angela Merkel pour question d’héritage nazi…semble-t-il!

    A la demande de nombreuses fraternités russes ,allemandes et de pays divers,j’ai accepté de prendre le relais et de perpétuer l’héritage de Maria Orsic et de la Société du Vril.

    Hier soir,21 mai 2022,j’ai fait une véritable unanimité sur les buts futurs de notre nouvelle fraternité qui portera le nom de « Nouvelle Société du Vril »!

    Contrairement à l’ancien site en Russie,notre Nouvelle Société du Vril sera diffusée dans plusieurs langues,dont le français en priorité,l’anglais,l’espagnol,l’allemand,le russe et quelquefois en chinois et d’autres langues asiatiques…suivant la disponibilité de nos alliés en Corée du Nord,à Hong Kong etc

    À partir d’aujourd’hui,la Nouvelle Société du Vril va dénoncer la désinformation historique et les manipulations politiques que subissent les moutons vaccinés qui montent aux barricades pour défendre une démocratie de papier et d’escroqueries .

    Je vous enseignerai la science de Maria Orsic et l’héritage plusieurs fois millénaires de ceux qui descendirent des Cieux pour nous créer et qui ,croyez-le,s’apprêtent à nous sauver…encore une fois!

    Expliquez à tous ceux et celles qui ont perdu(e)s espoir que nous sommes avec eux…toujours!

  • Les Grandes Découvertes archéologiques Impossibles et censurées :le site de Glozel en 1924

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    Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l’Allier à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.

    Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon ( rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de 17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l’une des plus violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l’on savait sur les origines de l’écriture.

    En défrichant un morceau de terrain, l’une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l’intérieur duquel Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l’avoine est semée.

    Au cours de l’été, la Société d’Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au Dr Capitan des Beaux-Arts.
    A l’époque, le Dr Capitan, l’abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire.

    Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d’archéologie, entend parler de la découverte et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu’il trouve, il obtient le droit de publication sur les objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin.

    13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. « Vous avez là un gisement merveilleux..« , il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.

    Mais au lieu d’envoyer son rapport, le Dr Morlet le publie le 23 septembre 1925 sous le titre « Nouvelle station néolithique« . Morlet est convoqué par Capitan, furieux, « …mettez mon nom à la place de celui d’Emile Fradin..« , ( fait rapporté et publié par le chanoine Cote, « Glozel, 30 ans après« , 1959 ; toutes les personnes « baignant » dans le milieu scientifique savent l’importance d’avoir son nom au sein d’une publication ) ; Morlet refuse.
    Puis l’abbé Breuil écrit un article en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à son tour s’insurge et accuse l’abbé de vouloir s’approprier la découverte. L’abbé se retournera alors lui aussi contre Glozel.
    On est bien loin des argumentations scientifiques !

    Les grands pontes de la préhistoire, tout d’abord très favorables à Glozel, pris de court par cette fabuleuse découverte, se retrouvant « hors jeu« , prennent alors position contre Glozel.
    D’autant plus qu’à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement que l’écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d’inscriptions ).
    Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..

    Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de science. Les glozeliens et les anti-glozeliens s’affrontent, Glozel devient l’affaire Dreyfus de l’archéologie.

    Et dans cette guerre, tous les coups ( bas ) sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet surprend même miss Garrod, secrétaire de l’abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d’une enquête sur place de la Commission des fouilles ( nommée par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ).
    Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer, « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose« .

    Le Président de la Société Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée ( mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir ces fantastiques objets si controversés ), puis il prétend qu’on lui montre des choses fausses. Il porte plainte contre X pour « entreprise pécuniaire pour montrer les produits d’une mystification« .

    Le 25 février 1928, la police de Clermond-Ferrand fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ; leur but, trouver l’atelier où Emile fabrique ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater mais à l’époque il n’y a aucun moyen pour faire cela.

    Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d’escroquerie, le juge d’instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l’interrogatoire.
    On veut qu’il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, a sa conscience pour lui, il n’a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.

    Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de fabrication et vérifier s’il enterre lui-même les objets.

    Finalement, deux ans plus tard, l’inculpation finit par un non-lieu.
    Emile Fradin peut enfin profiter de la vie, il se marie et a des enfants.
    Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets, jusqu’en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans l’autorisation de l’Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel.
    Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas la reconnaissance de Glozel.

    En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite.
    Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien !
    Henri François écrira à Emile Fradin :
    « …Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et indiscutables…« 

    Les résultats sont les suivants :

    • les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
    • les céramiques ont 5 000 ans,
    • les tablettes gravées ont 2 500 ans.

    En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant qu’il existerait encore des objets enfouis.

    En 1975, après un congrès d’archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l’authenticité du site. L’Etat reconnaît l’authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.

    De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des morts, ensuite, aucun résultat n’est publié (?).

    Alors pourquoi ?
    Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, « père spirituel des hérétiques en France » :
    « …S’ils ne publient pas c’est qu’ils ont probablement trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
    De quoi a-t-on peur ?
    On a peur de contrarier quelques vieux professeurs, on a peur de démolir les théories en cours ?
    Mais, est-ce que les théories scientifiques sont des monuments religieux ?
    Qu’y a-t-il donc à Glozel qui soit responsable d’une telle levée de boucliers ?
    Faisons donc des fouilles méthodiques et raisonnées à l’endroit où Emile Fradin les fit ! …
    « 

    M. Emile Fradin s’est vu proposé des sommes fabuleuses pour ses découvertes mais il n’a cédé aucun objet. Le 16 juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.

    En 1995, suite à la diffusion d’une émission télévisée,  le résumé provisoire des recherches précédentes est enfin publié mais ne révèle rien, si ce n’est ce que l’on savait déjà, qu’il y a une grande disparité dans l’âge des objets de Glozel.


    Plus de 3000 objets ont été retrouvés, des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des bijoux en os, des têtes de flèches, des aiguilles, et il ne semble pas que les signes écrits aient été superposés à des gravures animalières antérieures.

    Tous les ossements, humains ( n’appartenant pas à des squelettes d’homme moderne ), et d’animaux ( ayant été transformés en outils, bijoux, certains portant des signes d’écriture ), tous, présentent une fossilisation avancée.

    Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.

    Les galets, gravés notamment de splendides rennes, ont soulevé l’admiration des spécialistes en art préhistorique.

    Les objets en céramique, idoles, vases mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les fameuses tablettes couvertes d’inscriptions toujours inconnues, ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout d’abord pris pour une tombe. 


    Même s’il n’y a plus de doute sur l’authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.

    En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu, d’objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge !

    Reste également l’énigme de l’écriture que l’on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non déchiffrée…
    Elle présente de grandes ressemblances avec :

    • des formes très anciennes de l’écriture phénicienne.
    • Mais aussi avec un certain nombre d’inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des sites magdaléniens, au Portugal, en Roumanie et en France.

    Glozel serait peut-être un ancien lieu de culte, magique, où auraient été regroupés des objets de diverses provenances ? …

    On ne pourra lever le voile du mystère que si l’on étudie sérieusement et systématiquement ce site exceptionnel.

     

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    LE SITE MYSTÉRIEUX DE GLOZEL

     

    GLOZEL

    Une Introduction

    Cette station, découverte fortuitement en 1924 par des paysans de l’Allier (un grand-père et son petit fils, alors qu’ils réalisaient un labourage de ce terrain afin de le transformer en pacage), fera grand bruit, verra se presser les noms les plus prestigieux, attirera les foules, mais aussi …les foudres! Des rivalités et des combats mesquins d’hommes éminents viendront ternir les découvertes nombreuses de pièces très originales. L’intérêt pour ce site en sera dérangé, amenuisé , voire brouillé… trop de personnes se complaisant à le maintenir en marge.

    Une littérature abondante sera produite; la seule bibliographie française représente déjà plus de 85 pages !

    Localisation

    Le hameau de GLOZEL dépend de la commune de Ferrières sur Sichon, canton du Mayet de Montagne, situé à une vingtaine de kilomètres de Vichy, au Nord du massif des Bois Noirs et à l’ouest des Monts de la Madeleine (extrémité septentrionale du Massif Central, communément appelée: Montagne Bourbonnaise).

    Presque tous les objets découverts au Champs des Morts se trouvent au Musée de GLOZEL, sur lequel veille amoureusement « l’inventeur » du site, Emile FRADIN, 91 ans en cette année 1998.

    Des découvertes d’objets similaires furent effectuées aux alentours (à Moulin Piat, à 2,5 km au Sud; chez Guerrier, à 3 km sur la rive droite du Vareille; à Puyravel à 10 km en amont, sur la rive opposée).

    Dès 1924, le Dr Morlet, médecin à Vichy, archéologue amateur averti, mena des fouilles pendant plusieurs années. Il cessa en 1941, date de la nouvelle législation réglementant les fouilles archéologiques. Il prétendit qu’il s’agissait d’une « nouvelle station néolithique ».

    La géologie de cette région est très complexe et délicate à aborder, en particulier pour les analyses archéométriques, car ce sous sol est en grande partie constitué de terrains radioactifs, très chargés puisqu’ils contiennent en quantité de l’uranium à l’état naturel. Cela rend donc les résultats des analyses difficiles à exploiter, sans que de nouvelles approches aient été réalisées, afin de déterminer l’impact et les répercussions possibles sur les résultats obtenus.

    (d’après une carte établie par le Dr CHABROL)

    Les datations

    Glozel est sûrement un des lieux européens qui a eu le plus d’investigations réalisées, par des techniciens hautement qualifiés, et ce depuis le début de sa découverte. Mais les anti-glozéliens ont mis tellement de hargne dans leurs combats, qu’ils ont été jusqu’à faire l’impasse sur la richesse de ces résultats, et les démonstrations successives qui se sont accumulées en faveur de l’authenticité indéniable de cette collection.

    Dans les années 1970, une équipe de scientifiques (Vagn Mejdhal au Danemark – Hugh MacKerrel à Edimbourg – Henri FRANCOIS, ingénieur au Centre d’Etudes Nucléaires de Fontenay Aux Roses) s’intéressa à nouveau à Glozel et effectua des analyses par thermoluminescence.

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    PREMIÈRE COMPLÉMENTAIRE

    La datation archéologique par la radiothermoluminescence

    Cette méthode de datation est basée sur la radioactivité naturelle, c’est à dire sur les rayonnements émis par la croûte terrestre, par son atmosphère et par le soleil et les étoiles.

    Introduction

    On a de bonnes raisons de croire qu’il y a 4,5 milliards d’années, une gigantesque explosion cosmique a engendré notre système solaire. Les éléments constitutifs des atomes, électrons, protons, neutrons, ont formé alors un « plasma » porté à très haute température qui s’est refroidi rapidement en donnant naissance à des atomes. Ces atomes sont des systèmes solaires miniatures constitués d’un noyau comprenant des particules appelées  » protons  » et  » neutrons « , et, gravitant autour de lui, des  » électrons « , particules 2 000 fois plus légères.

    De la stabilité des atomes…

    La plupart de ces atomes étaient stables. Dès leur naissance, ils répondaient aux lois de la physique. D’autres sont nés malformés; c’est à dire que les rapports du nombre des neutrons au nombre des protons contenus dans leurs noyaux n’étaient pas convenables. Ils étaient des atomes « instables ». Cette instabilité se manifeste physiquement par la radioactivité, c’est à dire par une émission spontanée de rayonnements. Il s’agit, en fait d’une recherche spontanée de stabilité nucléaire et pour l’obtenir le noyau émet des rayonnements. Ces rayonnements peuvent être « particulaires » ou « électromagnétiques »; ils peuvent être matière ou lumière. Dans tous les cas, éjectés par le noyau, ils sont porteurs d’énergie qu’ils déposent dans la matière qu’ils « bombardent » et où ils pénètrent.

    Depuis l’origine de la Terre, ces atomes instables radioactifs n’ont pas cessé de se désintégrer en envoyant de l’énergie autour d’eux. On sait que la radioactivité naturelle décroît depuis le « Big Bang » originel, mais en considérant une période historique – voire géologique – d’une durée relativement courte, on peut admettre que le dépôt d’énergie radioactive correspondant aux désintégrations naturelles, varie peu en fonction du temps écoulé.

    Le principe de la thermoluminescence

    1) La terre est
    extraite de la carrière

    La datation par la radiothermoluminescence est basée sur la relative constance de ce débit de dose. Lorsqu’un minéral organisé, un cristal de quartz, d’alumine de feldspath, par exemple, est atteint par le bombardement dû à la radioactivité naturelle créée par ces atomes radioactifs de la croûte terrestre, il se produit un certain nombre de modifications de sa structure. Ces modifications de structure, pour la plupart d’entre elles, sont durables, et leur nombre est fonction du temps écoulé.

    Or, si pour une raison quelconque, on apporte au cristal géologiquement « bombardé » une élévation de température suffisante, les modifications structurales induites au cours du temps par la radioactivité naturelle disparaissent. L’énergie apportée par le « bombardement » radioactif est libérée sous l’action de la chaleur et se manifeste par une apparition de lumière qui dure pendant tout le temps nécessaire au retour à l’état original. Ce phénomène s’appelle la radio-thermo-luminescence, c’est à dire qu’il s’agit d’une lumière induite par la radioactivité dans un minéral, et révélée par une élévation de la température.

    Il est donc normal de rencontrer de nombreux cristaux naturels radiothermoluminescents dans la croûte terrestre.

    Et la poterie, dans tout ça?

    2) Le potier
    modèle
    une forme

    Imaginons qu’un potier gallo-romain ait façonné un objet. Lorsqu’il le porte au four, les petits cristaux constitutifs de la poterie sont portés à haute température. Ils avaient subi une irradiation géologique naturelle et durant la montée en température du four, ils émettent de la lumière en quantité proportionnelle à la valeur de l’irradiation géologique reçue. Bien entendu, le potier gallo-romain n’a pas remarqué cette lumière ou il n’y a pas attaché d’importance. En fait, la radiothermoluminescence avait été remarquée et décrite par les alchimistes, qui, évidemment, ne l’avaient pas expliquée.

    3) Le potier cuit la forme
    qui devient un vase
    (l’horloge archéologique
    est remise à zéro)

    Lorsque la poterie a retrouvé la température normale, elle est de nouveau soumise à l’irradiation tellurique et cosmique. Cette irradiation est constante en fonction du temps et de nouveau le bombardement radioactif induit des modifications structurales de la matière. Le potier avait, lors de la cuisson, en quelque sorte remis l’horloge archéologique à zéro.

    Si, de nos jours, on soumet un prélèvement de cette poterie à un chauffage convenable dans un appareil capable de mesurer les quantités de lumière émise, on pourra, connaissant la quantité de lumière correspondant à une année d’irradiation, se faire une idée précise de la date de fabrication de l’objet.

    4) La poterie après usage est enfouie dans le site
    archéologique. Elle reçoit le rayonnement cosmique
    (soleil + galaxies) et le rayonnement tellurique

    Pour connaître le débit de dose naturelle, on peut faire des mesures de la radioactivité du terrain où l’objet a été découvert et en déduire le débit de dose annuel, ainsi que la thermoluminescence annuelle correspondante. Dans la plupart des cas, le contexte géologique permet de faire une hypothèse raisonnable sur la valeur de ce débit de dose qui peut être éventuellement reproduit au Laboratoire avec des sources radioactives d’ intensité étalonnée.

     

    En fait, on utilise la division suivante:

    Pour finir

    On remarque que la méthode ne s’applique qu’à des objets minéraux ayant subi une cuisson, c’est à dire, terres cuites, poteries, céramiques, etc …

    La méthode dite au Carbone 14 ne s’applique qu’à des vestiges d’objets vivants (plantes et animaux).

    Les deux techniques de datation sont, en fait, complémentaires et ne peuvent pas être opposées.

    ………………………………………………………………………….

     

    Ce dernier n’a pas hésité à demander au Docteur ZIMMERMAN de l’Université de Washington, attaché au Mc Donnel Center for the Space Science, de réaliser une investigation qu’il était le seul à pouvoir mener à bien. Le but était de déterminer si les céramiques de Glozel étaient bien des objets authentiques, et non des faux, fabriqués modernement. Basant sa démonstration sur une propriété particulière des grains de zircon, le Dr ZIMMERMAN concluait ses résultats, en y indiquant: « Nous écartons donc toute possibilité pour que ces deux prélèvements de Glozel puissent être des céramiques modernes, irradiées artificiellement dans le but de les faire paraître anciennes. Et nous concluons qu ‘elles ont vraiment été fabriquées dans 1 ‘antiquité ». Une position qui venait conforter celles déjà émises auparavant, dont celle de l’Ingénieur géologue M.E. BUET, qui avait pu déterminer, en 1928, que les briques à inscriptions n’avaient été cuites qu’à une température comprise entre 600 et 700 degrés…

    Les objets Glozéliens, actuellement 2500 pièces, ont été trouvés dans une couche archéologique unique, bien différenciée. Cette couche avait été signalée comme étant du Néolithique par le Doyen Charles DEPERRET. Le récent congrés international 14C et Archéologie – Lyon 1998 fait état, pour ce processus de néolithisation en Europe, d’une mise en place dans les derniers siècles du 7ème millénaire, et d’une généralisation dans la première moitié du 6ème.

    Ce Champ des Morts a fait l’objet d’une investigation au magnétomètre à proton, réalisée en 1974, par Madame LEMERCIER, du Centre d’Etudes Nucléaires de Grenoble, qui a permis de conforter les précisions laissées par le Dr Antonin MORLET. Ce dernier fouilla ce lieu, seul avec Mr FRADIN, pendant plus de 15 ans et y a laissé de nombreux endroits vierges, afin que les générations futures puissent compléter, par de nouvelles fouilles ou de nouvelles approches techniques, les informations déjà possédées.

    La confrontation et la comparaison de la couverture aérienne et des résultats de Mme LEMERCIER permettent de retrouver trace des structures inviolées, au niveau du Champ des Morts, mais aussi dans les terrains avoisinant, au dessus et à gauche du terrain en venant du Musée.

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    EN SECONDE COMPLÉMENTAIRE

    Le docteur Antonin MORLET

    Sans lui, sans son acharnement, son désinteressement, sa clairvoyance, ce site serait totalement méconnu…

    Médecin thermal (il publia plusieurs livres), doublé d’un érudit local, grand amateur d’archéologie, il s’enflamma de passion pour Glozel et lui consacra sa vie.

    « Je ne pense pas qu’il faille vivre avec les morts… c’est à dire les prendre pour ce qu’ils n’ont jamais été: des morts. Il faut se souvenir des vivants qu’ils ont été. »

     

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    L’écriture

    Bien sûr, la grande donnée de Glozel, la grande énigme aussi, c’est l’écriture. Elle a fait couler beaucoup d’encre, irrité plus d’un… Actuellement plusieurs chercheurs sont arrivés à la cerner, commencent son déchiffrement.

    Ce type d’écriture n’est pas unique. Il existe de nombreux alphabets anciens très voisins, dans les écrits dits Italiques, Ibériques (Alvao au Portugal, etc). Cette écriture a servi à noter une langue, pré indo-européenne, pré étrusque, vieux fond auquel il faut se référer pour en trouver la clé…et dont il subsiste des racines dans l’irlandais, l’islandais, le finnois et le norrois. Plusieurs personnes planchent encore actuellement à peaufiner leurs démonstrations et travaux (une thèse sur le sujet est en cours d’élaboration ), sur ce qu’ils ont pressenti, avec grande justesse (Marie Labarrère Delorme, Maurice Guignard et Christian de Warenghien, Rudolf Hits). Elle sera l’élément déterminant et le passage obligé pour définir très exactement et ancrer la datation fiable de GLOZEL.

    Le « glozélien » est surtout connu du grand public au travers de tablettes d’argiles, souvent publiées. En revanche, il ignore que ces « signes » se retrouvent sur la majorité des objets découverts et sortis du Champ des Morts par le Dr Antonin Morlet entre les deux guerres. Sur la plupart de ces pièces (sculptures, gravures sur pierre, sur os, sur ivoire, bois de renne ou de cervidé) sont associés les mêmes signes que ceux tracés sur les tablettes d’argile, démontrant l’homogénéité indiscutable de la station et du gisement.

     

     

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    LES OBJETS TROUVÉS À GLOZEL

    Idoles phalliques

    Il existe à Glozel des typologies d’objets spécifiques, dont par exemple les idoles phalliques, bi -sexuées. Elles constituent un plaidoyer certain pour l’ancienneté de cette station. En effet, les témoins de la virilité sont bien représentés, comme celle des tribus primitives, avec la bourse droite qui est plus basse que celle de gauche. Cet élément des lois anatomiques plastiques est un élément de peuples primitifs, et c’est l’apanage de la race qui fera produire le contraire. En réalité c’est probablement la modification des régimes alimentaires qui entraînera l’apparition des troubles veineux, et ce…basculement !

     

     

    Le « chasseur »

     

     

    Une des pièces maîtresse trouvées à Glozel est une petite sculpture en ronde bosse, dite du « Chasseur « , ou du « Chaman ».
    Tenant un épieu dans sa main droite, il est campé de ses deux pieds sur le ventre d’un animal expirant.
    La macrophotographie révèle autour du cou deux colliers, dont l’un est composé d’élements sphériques, les fameux « hochets » ou « bolas » qui avaient tant intrigué le monde archéologique.
    L’homme est assurément ici dans une nudité rituelle, et le collier flottant, à symbole mammaire, une évocation au culte primordial, originel, de la Grande Déesse Mère.

     

    Objet multimamia

    Ces petits « hochets » ou « bolas » qui avaient intrigué la communauté des archéologues étaient en réalité destinés à être portés autour du cou.

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  • Mystère de l’histoire:QUI ÉTAIT LÀ AVANT LES ÉGYPTIENS ?

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    QUI ÉTAIT LÀ AVANT LES ÉGYPTIENS?

    En analysant l’histoire égyptienne, il apparaît clairement que leur civilisation n’est pas entièrement partie de zéro. Certains des plus grands chefs-d’œuvre de la civilisation égyptienne ont été créés alors que ce peuple n’en était qu’au début de son développement. Il devient donc évident que les « premiers Égyptiens » s’appuyaient sur la technologie de quelqu’un qui vivait dans la même zone géographique avant eux. Donnons quelques exemples.

     


    Basée sur la reconstitution de l’histoire réalisée par les égyptologues, la « Pyramide à degrés de Djéser » est une sorte de « pierre de touche » pour toutes les pyramides trouvées en Égypte. Il s’agit de la première pyramide dont on est raisonnablement certain de connaître le constructeur, le maître d’ouvrage et la période de construction. Il a été construit sur ordre du pharaon Djoser, sur la base des plans de son très célèbre Imhotep officiel, vers 2 630 avant notre ère. Sur cette pyramide donc, tout le monde est plutôt d’accord.

    Nous en déduisons que toute pyramide qui, hypothétiquement, se trouverait sur le sol égyptien mais s’avérerait « antérieure » à la « Pyramide à degrés de Djéser », construite vers 2 630 avant J.-C., ne pourrait être considérée comme « égyptienne » au sens nous donnons à ce terme aujourd’hui. Il aurait été construit par quelqu’un qui a précédé les pharaons. Les pharaons en auraient donc simplement « pris » possession, le faisant apparaître comme « leur affaire ». Est-ce que les choses se sont passées ainsi ? Donnons quelques exemples basés sur les dernières découvertes scientifiques.

    Dans une étude utilisant la méthode de « Luminescence Optiquement Stimulée (OSL) » réalisée par le Département d’Archéométrie de l’Université de la Mer Égée, en Grèce, il a été découvert que la roche calcaire du temple de Qasr-el-Sagha pourrait dater dès 5550 av. (datation moyenne : 4700 ± 850 av. J.-C.). Ce temple pourrait être antérieur de 3 000 ans à la pyramide de Djoser.

    En utilisant la même méthode de datation, il a été constaté que le granit rouge utilisé pour recouvrir la base de la façade de la Petite Pyramide (Pyramide de Mycérinus), examiné avec ce système de datation moderne, remonte à 4 400 av. (Date moyenne 3450 ± 950 av. J.-C.). Ce rocher pourrait avoir été placé 2 000 ans avant la construction de la pyramide de Djéser. Et nous parlons de la couche externe de la pyramide, qui a peut-être été restaurée ultérieurement. Son « cœur » est peut-être beaucoup plus ancien.

    Qui a construit ces constructions et d’autres que nous appelons communément « égyptiennes » ? Certainement pas les « Égyptiens » que nous connaissons…

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  • La Lune Américaine,le film qui prouve la fraude d’Apollo XI

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    Votre serviteur s’est procuré le film qmentalement la NASA américaine.Ce film,c’est American moon que je vous présente ici,en version française!

     

    L’homme est-il vraiment allé sur la lune ? Cela fait plus de 50 ans, et le débat fait rage. Pour la première fois, un film rassemble en un seul ouvrage toutes.

     

    Je n’ai pas trouvé de données récentes pour les États-Unis, mais un sondage de 2005-2006 révélait que « plus du quart de la population âgée de 18 à 25 ans a exprimé des doutes sur le fait que les humains aient mis le pied sur la Lune », ce qui est proche des données britanniques de la même époque, et laisse supposer qu’aujourd’hui le pourcentage doit être également comparable, soit plus de la moitié de sceptiques. Il est intéressant de noter que dans un sondage réalisé par Knight Newspapers en 1970, un an après Apollo 11, plus de 30 % des personnes interrogées exprimaient déjà des doutes.

    Pour la Russie, un sondage réalisé en 2018 par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’expédition habitée sur la Lune. Le pourcentage monte à 69 % chez les gens ayant reçu une éducation supérieure. En d’autres termes, plus les gens sont instruits et capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages.

    Le doublement du nombre de sceptiques en une décennie environ est lié au développement d’Internet et de YouTube en particulier, qui a permis une large diffusion des arguments de la théorie du « canular lunaire » (moon hoax), basés sur l’analyse des films et photos disponibles. Jusqu’au début des années 2000, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a été Bill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre originellement auto-édité : We Never Went to the Moon : America’s Thirty Billion Swindle. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, une des sociétés qui a conçu et construit les fusées Apollo. Ensuite est paru le livre du physicien Ralph René, NASA Mooned America : How We Never Went to the Moon and Why, qui développa la problématique des ceintures de radiation de Van Allen.

    La recherche a gagné en profondeur et en ampleur, et l’incrédulité est devenue virale autour du 30ème anniversaire d’Apollo 11, grâce en partie au photographe britannique David Percy, coauteur avec Mary Bennett du livre Dark Moon, et réalisateur du documentaire de trois heures What Happened on the Moon ? An Investigation into Apollo (2000), qui demeure à ce jour très précieux pour se faire une opinion éclairée.

    Puis, il y a eu A Funny Thing Happened on the way to the Moon (2001), réalisé par Bart Sibrel, qui apporte un bon éclairage sur le contexte historique. Sibrel s’est également fait connaître pour avoir rencontré plusieurs astronautes de la NASA et les avoir mis au défi, devant caméra, de jurer sur la Bible qu’ils avaient marché sur la Lune. Il a inclus ces séquences dans Astronauts Gone Wild, qui compile également des séquences plus utiles de déclarations embarrassantes faites par des astronautes qui sont censés avoir marché sur la Lune mais semblent peu cohérents ; la réaction d’Alan Bean d’Apollo 12 apprenant de Sibrel qu’il a traversé les ceintures de radiation de Van Allen est particulièrement réjouissante.

     

     

    Je ne vais pas discuter de tous les éléments présentés dans ces sources en faveur de la thèse de la supercherie des alunissages Apollo. Je vais simplement sélectionner les arguments que je considère comme les plus convaincants, ajouter quelques développements récents, donner ma meilleure conclusion, placer la question dans une perspective historique plus large et en tirer quelques leçons sur la Matrice dans laquelle nous vivons.

    Tout d’abord, nous devons être clairs quant à l’objectif d’une telle enquête. Nous ne devons pas nous attendre à une preuve absolument définitive que Neil Armstrong, ou tout autre prétendu moonwalker, n’a pas marché sur la Lune. Cela ne pourrait être établi de manière indiscutable qu’au moyen d’une preuve qu’il était ailleurs (en orbite autour de la Terre, par exemple) au moment précis où il prétendait être sur la Lune. Dans la plupart des cas, vous ne pouvez pas prouver que quelque chose ne s’est pas produit, tout comme vous ne pouvez pas prouver que quelque chose n’existe pas. Vous ne pouvez pas prouver, par exemple, que les licornes n’existent pas. C’est pourquoi la charge de la preuve incombe à quiconque prétend qu’elles existent ; tout ce que peuvent faire alors les sceptiques, c’est montrer que les preuves sont falsifiées, ou non concluantes. Si je vous dis que j’ai marché sur la Lune, vous me demanderez de le prouver, et vous n’accepterez pas pour réponse : « Non, c’est à vous de prouver que je n’y suis pas allé. » Est-ce que cela fait une différence si je suis la NASA ? Oui, parce qu’envisager la possibilité que la NASA ait menti vous amènera inévitablement à remettre en question tout ce à quoi les gouvernements et les médias grand public vous ont fait croire, et même une grande partie de l’éducation que vous avez reçue. C’est un pas de géant, vertigineux, terrifiant, qui sapera d’un coup ce qui vous reste de confiance dans l’information de masse. Tout comme les enfants de parents pervers, les citoyens honnêtes ont tendance à refouler les preuves de la malveillance des puissants qui les gouvernent. Ainsi, les gens choisissent de croire à l’alunissage, sans même demander de preuves, simplement parce que : « Ils ne nous auraient pas menti pendant plus de 50 ans, n’est-ce pas ? Les médias auraient dénoncé le mensonge il y a longtemps (n’oubliez pas le Watergate) ! Et qu’en est-il des centaines de milliers de personnes impliquées dans le projet ? Quelqu’un aurait parlé ! » Je m’entends penser moi-même comme ça il y a à peine 10 ans.

    Toutes ces objections doivent en effet être prises en compte. Mais avant cela, la chose scientifique à faire est de commencer par poser la question : la NASA peut-elle prouver qu’elle a envoyé des hommes sur la Lune ? Si la réponse est non, la prochaine étape consiste à décider si nous les croyons sur parole ou non. Pour cela, il faut se demander quelles auraient pu être les raisons d’un mensonge d’une telle ampleur. Nous y viendrons.

     

     

     

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  • Epidemic of fraud,un film censuré que nous vous présentons

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    Si vous cherchez ce film qui vient d’être produit,vous pourriez chercher pendant des heures,car ce film remet le syst`me politique corrompu dans lequel nous vivons.

    Aussi,nous,de la Nouvelle Société du Vril,avons décidé de le mettre à la disposition de tous!

    Voici,le film:

     

     

    Assurez-vous de bien avoir vu ce film,car il est fait de façon  intègre et apporte la lumière sur  la fraude et la Criminelle Arnaque du COVID 19 …telle que je l’ai définie depuis le début!

    Michel Duchaine,votre humble  serviteur dans la recherche de la Vérité!

    On ne peut vivre ni dans la Liberté,ni dans toute forme de Démocratie,sans  faire Vivre Pleinement la Vérité…dans notre Vie!

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  • L’héritage de Neuschwabenland

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    Bases externes dans le Neuschwabenland

    Une carte d’origine d’après archives.

    La plupart de mes lecteurs  connaissent essentiellement la région antarctique allemande du Neuschwabenland et son histoire, ce qui n’est ni un secret ni une information particulièrement nouvelle. Nous en avons déjà parlé .II et, à notre connaissance, rien n’a changé depuis, c’est-à-dire qu’il ne peut probablement pas être question de nouveaux aspects (l’image de la carte provient de l’ancien article). Nous avons également abordé récemment la question du Neuschwabenland à propos d’événements anciens. 

     

    Bien entendu, nous savons que d’autres ont des opinions différentes à ce sujet et les expriment certainement ici et là sur Internet. Cependant, il n’y a aucune indication concrète qu’il y ait encore eu une activité secrète allemande en Antarctique après 1961. D’un autre côté, il existe certainement des déclarations sérieuses de la part de personnes bien informées selon lesquelles les bases extérieures allemandes en Antarctique ont été démantelées depuis longtemps, du milieu des années 1950 jusqu’en 1960/61. Selon Wilhelm Landig, par exemple, il y avait plusieurs raisons à cela. D’une part, c’était stratégique et tout simplement le fait que les opérations depuis l’Antarctique étaient devenues de plus en plus difficiles et n’étaient plus nécessaires. 

    À gauche:atterrissage d’un Junker 290 long courrier sur une piste érigée près de Neuschwabenland.
    À droite:dessin de l’appareil.

     

    D’un autre côté, la question du système immunitaire humain a également joué un rôle, car le froid permanent, dans une certaine mesure stérile, de l’Antarctique entraîne à long terme un affaiblissement indirect du système immunitaire, ce qui signifie que les personnes originaires de là-bas, vers d’autres régions, ils deviennent extrêmement vulnérables aux maladies. En fait, les chercheurs de l’Antarctique veillent également à ne pas rester trop longtemps dans ce climat.

    La carte de l’Antarctique qui accompagne cet article montre les emplacements des bases planifiées et peut-être réalisées qui n’existent plus. Il est également logique que toutes les bases de ce type n’appartiennent pas à la région du Neuschwabenland, qui appartient à l’Allemagne selon le droit international. Des bases auraient certainement été installées dans des endroits où l’ennemi était moins susceptible d’en avoir. Que de la part de nos anciens opposants à la guerre !

    On supposait en fait qu’il y avait encore des forces allemandes indépendantes en Antarctique, ce qui ne fait aucun doute (même si les prétendus journaux intimes de l’explorateur polaire, l’amiral Byrd sont définitivement faux ; il n’a jamais écrit ni dit ce qu’on lui attribuait).

    Les bases du Neuschwabenland en 1944/45 étaient probablement destinées avant tout à servir de points de rassemblement à partir desquels d’autres bases extérieures seraient bientôt implantées, qui devaient être encore mieux agrandies et équipées.

     

    Il existe sans aucun doute des preuves concrètes que les sous-marins et les avions à long rayon d’action maintenaient un service de navette parfois irrégulier mais fonctionnel entre l’Antarctique et l’Europe et entre l’Antarctique et l’Amérique latine. 

     

    Jusqu’à la fin, il semble qu’il y ait encore eu quelques bases sûres en Europe, qui avaient déjà été presque entièrement inondées par les armées ennemies, par exemple en Norvège, dans le nord de l’Allemagne et en Haute-Autriche, mais dans certains cas dans des endroits où l’ennemi je pouvais difficilement imaginer comment cela se produirait dans le nord de l’Italie et même dans le Caucase. La plupart d’entre eux resteront certainement toujours mystérieux. Cela s’applique également à la question de l’utilisation éventuelle de disques volants pour équiper des bases externes. 

     

    Cela a probablement existé au moins dans des cas individuels, et il y a beaucoup à dire à ce sujet, même si certaines des affirmations faites à ce sujet ne sont pas très réalistes et que certaines des photos « d’OVNI » apparemment correspondantes sont simplement inventées d’une manière ou d’une autre. 

    Mais rien de tout cela n’élimine le véritable fond du problème, bien au contraire, car, comme le dit si intelligemment le dicton populaire dans la parabole : « Là où il y a de la fumée, il y a aussi du feu ». Pour le dire franchement : partout où de faux rapports et photos d’OVNIS apparaissent, il y en avait de vrais avant ! Et cela ferme un cercle qui n’a plus de début ni de fin .

    Pour s’en tenir à la métaphore, il y a largement assez de fumée dans cette affaire et dans tout ce qui l’entoure – donc l’incendie associé doit être considérable.

    Mais la plupart de ce dont nous venons de parler appartient au passé. La Seconde Guerre mondiale est de facto terminée et relativement heureusement surmontée – même s’il est formellement vrai qu’il n’y a toujours pas de traité de paix. En raison des exigences juridiques internationales qui seraient nécessaires à cet effet, la conclusion formelle d’un traité de paix n’est pas si simple à mettre en œuvre, car les parties contractantes devraient être les mêmes que celles qui se faisaient autrefois la guerre. De notre côté, un Reich allemand devrait fournir la signature autorisée. Ceci n’est actuellement ni théoriquement ni pratiquement possible (nous ne voulons pas laisser de côté les différents « gouvernements du Reich » actuels !).

    Pendant ce temps, l’Union soviétique, partenaire potentiel d’un traité de paix, n’existe plus, ce qui complique encore les choses. Cela reste donc de la théorie, et la pratique est également importante. Il ne faut pas négliger le fait que la destruction de l’Empire allemand était un objectif de guerre central des puissances occidentales et notamment de l’Angleterre. 

    Le terme même d’« Empire allemand », qui s’appuie sur la tradition de l’Empire germano-romain supranational, devait être considéré comme une menace par les opposants – même si ni l’Empire allemand wilhelminien ni l’Empire hitlérien n’avaient la signification et la valeur supérieures de cette tradition perçue !

    Les grandes puissances de l’époque, comme la France et l’Angleterre, voulaient jouer les premiers, même si elles n’y parvenaient pas seules, ce qu’elles connaissaient bien. Le Reich, en revanche, avait le potentiel de diriger l’Europe. Dans cette partie du monde, seules l’Allemagne ou la Russie étaient en cause. La Russie possède encore ce potentiel, mais elle n’a actuellement aucun autre État européen ni structure étatique européenne, comme cela pourrait être possible.De plus,contrairement à la propagande politique actuelle,Vladimir Poutine n’a aucune volonté d’envahir l’Europe…c’est plutôt les américains et  les polonais qui aimeraient démembrer la Russie!

    Quoi qu’il en soit, à proprement parler, il n’y a encore qu’un cessez-le-feu – et c’est là un autre aspect de la théorie. Tant que l’équilibre pratique des forces restera tel qu’il est aujourd’hui, l’Allemagne restera un État sans pleine souveraineté – d’une manière ou d’une autre, quel que soit le nom qu’elle se donne. La République fédérale d’Allemagne n’est pas mauvaise et le drapeau noir-rouge-or est également bien choisi. 

    Très peu de ces nationalistes qui aiment encore jurer par le noir-blanc-rouge semblent savoir que le noir-rouge-or est le drapeau allemand bien plus correct ! Elle a des origines plus anciennes et représente la solution du Grand Allemagne, comme on disait – et cela bien avant Hitler ! 

    Le drapeau noir-rouge-or ne serait en principe le bon drapeau que si l’Autriche faisait partie de l’alliance. Ceux qui aiment encore aujourd’hui arborer le noir, le blanc et le rouge doivent savoir que ces couleurs représentent la « petite solution allemande », tandis que le noir, le rouge et l’or peuvent à juste titre être considérés comme les couleurs de toute la nation allemande.

    Nous avons désormais parcouru un long chemin depuis le Neuschwabenland : pour cause, car il n’y a actuellement rien à discuter à ce sujet. ..sauf  sur des apparitions occasionneles d’Ovni en Antartique.

    En ce qui concerne le passé, nous reviendrons sur ce sujet dans un contexte différent.

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  • L’humanité entre dans une Ère de Chaos sans précédent

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    Cet article n’est pas lié à une propagande politique,mais  à de graves constatations  enregistrées au fil du temps,par moi-même,ainsi  que par diverses communications venant de partout dans le monde…mais surtout de mon Conseil!

    Depuis que  j’ai fondé cette Fraternité,il y a maintenant presque 2 ans,je reçois des messages dans mon sommeil qui m’avertissent et me mettent en garde sur  cette période terrible dans laquelle …Nous,l’Humanité toute entière,venons d’entrer!

    Du temps ou elle vivait,ma conjointe ,amie et conseillère qui était aussi une grande voyante,me parlait de la Fin d’un Ère dans laquelle nous vivions…Aussi j’avais  beaucoup travaillé sur « La Suite du 21 décembre 2012 »!

    Comme beaucoup d’entre vous,mes ami(e)s,vous me   lisiez alors sur ces études,nous avions,moi et …mon Conseil (a),défini que nous étions sur la fin du Kali-Yuga!

    Maria Orsic était  une grande voyante  qui voyait,dans ses rêves,des scènes  aussi redoutables que ce que nous nous aprêtons à vivre!Aussi,en suivant son enseignement et en l’adaptant à notre époque,nous allons  ouvrir une nouvelle perspective…un  nouvel espoir dans  cette période obscure de guerre mondiale!Je vous avoue que c’est elle « mon Conseil »…car son  esprit plane au-dessus des gens qui se montrent réceptifs!

    En suivant notre site,mes articles et en m’encourageant,je vous donnerai cet enseignement!

    …………………………………………………………………………………………………………………………………………….EN COMPLÉMENTAIRE

    LA FIN DU KALI-YUGA EN 2025 ET LES MYSTÈRES DE LA DOCTRINE DES CYCLES.

    Un certain nombre de cultures anciennes croyaient en un cycle d’âges successifs dans lequel nous descendons progressivement d’un état de perfection spirituelle et d’abondance matérielle jusqu’à un état d’ignorance et de pénurie. Dans l’Inde ancienne, on appelait cela le cycle des Yugas. La doctrine des cycles nous dit que nous vivons actuellement dans le Kali Yuga, l’âge des ténèbres, le cycle dans lequel la vertu morale et les capacités mentales atteignent leur point le plus bas.

     

    Le Mahabharata décrit le Kali Yuga comme la période où l’« âme du monde » prend une teinte noire ; il ne reste qu’un quart de la vertu totale, qui diminue lentement jusqu’à devenir nulle à la fin du Kali Yuga. Les hommes se tournent vers la méchanceté ; la maladie, la léthargie, la colère, les calamités naturelles, l’angoisse et la peur de la pénurie dominent. La pénitence, les sacrifices et les observances religieuses tombent en désuétude. Toutes les créatures dégénèrent. Le changement passe sur toutes les choses, sans exception.

    Le Kali Yuga (l’âge de fer) a été précédé de trois autres Yugas : le Satya ou Krita Yuga (l’âge d’or), le Treta Yuga (l’âge d’argent) et le Dwapara Yuga (l’âge de bronze). Dans le Mahabharata, Hanuman donne la description suivante du cycle du Yuga au prince Pandava Bhima :

    « Le Krita Yuga a été nommé ainsi parce qu’il n’y avait qu’une seule religion et que tous les hommes étaient saints : ils n’étaient donc pas tenus d’accomplir des cérémonies religieuses… Les hommes n’achetaient ni ne vendaient ; il n’y avait ni pauvres ni riches ; il n’y avait pas besoin de travailler, car tout ce dont les hommes avaient besoin était obtenu par la force de la volonté… Le Krita Yuga était sans maladie ; il n’y avait pas d’amoindrissement avec les années ; il n’y avait pas de haine, ni de vanité, ni de mauvaise pensée quelle qu’elle soit ; pas de chagrin, pas de peur. Toute l’humanité pouvait atteindre la bénédiction suprême. L’âme universelle était Blanche… l’identification de soi avec l’âme universelle était toute la religion de l’âge parfait. Dans le Treta Yuga, les sacrifices commencèrent, et l’âme universelle devint Rouge ; la vertu diminua d’un quart. L’humanité recherchait la vérité et accomplissait des cérémonies religieuses ; elle obtenait ce qu’elle désirait en donnant et en faisant. Dans le Dwapara Yuga, l’aspect de l’âme du monde était jaune : la religion diminuait de moitié. Les Védas étaient divisés en quatre parties, et si certains avaient la connaissance des quatre Védas, d’autres n’en connaissaient que trois ou un. L’esprit s’affaiblissait, la Vérité déclinait, et il y avait le désir, les maladies et les calamités ; à cause de cela, les hommes devaient subir des pénitences. C’était un âge décadent en raison de la prévalence du péché. » (1).

    Aujourd’hui, nous vivons dans les temps sombres du Kali Yuga, où la bonté et la vertu ont pratiquement disparu du monde. Quand le Kali Yuga a-t-il commencé, et quand se termine-t-il ? 

    Malgré le cadre théologique élaboré de la doctrine des cycles, les dates de début et de fin du Kali Yuga restent entourées de mystère. La date communément admise pour le début du Kali Yuga est le 18 février 3102 avant Jésus-Christ, trente-cinq ans après la fin de la bataille du Mahabharata. Cette date serait basée sur une déclaration du célèbre astronome Aryabhatta dans le texte sanskrit Aryabhatiya, où il écrit que :

    « Lorsque soixante fois soixante ans (soit 3 600 ans) et trois quarts de Yugas se sont écoulés, vingt-trois ans se sont alors écoulés depuis ma naissance » (2).

    Cela signifie qu’Aryabhatta a composé ce texte alors qu’il avait 23 ans et que 3 600 ans du Yuga actuel s’étaient écoulés.Le problème ici est que nous ne savons pas quand Aryabhatta est né, ni quand il a composé l’Aryabhatiya. Il ne mentionne même pas le Kali Yuga par son nom, et déclare simplement que 3 600 ans du Yuga se sont écoulés. Les érudits supposent généralement que le Kali Yuga a commencé en 3102 avant J.-C., et utilisent ensuite cette déclaration pour justifier que l’Aryabhatiya a été composé en 499 de notre ère. Cependant, nous ne pouvons pas utiliser la logique inverse, c’est-à-dire que nous ne pouvons pas dire que le Kali Yuga a dû commencer en 3102 avant notre ère puisque l’Aryabhatiya a été composé en 499 de notre ère, car nous ne savons pas quand Aryabhatta a vécu ni quand il a terminé son œuvre.

    Une autre source importante est l’inscription d’Aihole, de Pulakesin II de Badami, qui a été incisée à l’expiration de 3 735 ans après la guerre de Bharata et de 556 ans des rois Saka. (3) Si nous prenons le début de l’ère Saka comme l’an 78 après Jésus Christ, alors la guerre de Bharata a eu lieu en 3102 avant J.C., alors le Kali Yuga, qui a commencé 35 ans après la guerre de Bharata, a commencé en 3067 avant J.C.. Mais il ne faut pas oublier qu’il existe aussi une ère Saka ancienne, dont la date de début est contestée et pour laquelle plusieurs dates ont été proposées par des chercheurs, allant de 83 à 383 avant notre ère. (4) Si l’inscription d’Aihole fait référence à l’ère Saka ancienne, alors l’ère Kali commence quelques centaines d’années avant 3102 avant notre ère.

    La vérité est qu’il n’existe aucun texte ou inscription qui nous donne une date non ambiguë pour le début du Kali Yuga.Bien que la date communément acceptée soit 3102 avant J.-C., elle n’a aucune base astronomique. On prétend que le calcul était basé sur la conjonction des cinq « planètes géocentriques » (c’est-à-dire les planètes visibles à l’œil nu) – Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne – à 0° du Bélier au début du Kali Yuga, comme mentionné dans le Surya Siddhanta. Mais le Surya Siddhanta indique explicitement que cette conjonction de planètes à 0° Bélier a lieu à la fin de l’âge d’or. (5) En outre, les simulations modernes indiquent que le 17/18 février 3102 avant notre ère, les cinq planètes géocentriques occupaient un arc d’environ 42° dans le ciel, ce qui ne peut en aucun cas être considéré comme une conjonction. Par conséquent, il n’existe aucune base astronomique pour la date de début, et nous n’avons aucune preuve qu’Aryabhatta ou tout autre astronome ait calculé cette date. Avant le 6e siècle de notre ère, la date n’apparaît dans aucun texte ou inscription en sanskrit. Elle a pu être inventée par des astronomes ultérieurs ou adoptée à partir d’un autre calendrier. Le flou qui entoure l’origine de ce marqueur chronologique très important rend sa validité très suspecte.

    La tâche consistant à déterminer la date de début du Kali Yuga à partir des anciens textes sanskrits est toutefois semée d’embûches, car un certain nombre d’inexactitudes se sont glissées dans les informations sur le cycle du Yuga qu’ils contiennent. Dans de nombreux textes sanskrits, la durée de 12 000 ans du cycle Yuga a été artificiellement gonflée à une valeur anormalement élevée de 4 320 000 ans par l’introduction d’un facteur de multiplication de 360, représenté comme le nombre d’ »années humaines » constituant une « année divine ». Dans son livre, The Arctic Home in the Vedas (1903), B.G. Tilak a écrit que : 

    « Les auteurs des Puranas, dont beaucoup semblent avoir été écrits au cours des premiers siècles de l’ère chrétienne, ne voulaient naturellement pas croire que le Kali Yuga était terminé… On a donc tenté de prolonger la durée du Kali Yuga en convertissant 1 000 (ou 1 200) années humaines ordinaires en autant d’années divines, une seule année divine, ou une année des dieux, étant égale à 360 années humaines… cette solution de la difficulté fut universellement adoptée, et un Kali de 1200 années ordinaires fut aussitôt transformé, par cet ingénieux artifice, en un magnifique cycle d’autant d’années divines, soit 360 × 1200 = 432 000 années ordinaires ». (6)

    Un cycle de Yuga de 24 000 ans.

    Cependant, certains textes sanskrits importants, comme le Mahabharata (7) et les Lois de Manu (8), dont les spécialistes pensent qu’ils ont été composés avant les Puranas, conservent la valeur originale du cycle Yuga de 12 000 ans. Le Mahabharata mentionne explicitement que la durée d’un Yuga est basée sur les jours et les nuits des êtres humains. Les Zoroastriens croyaient également en un cycle des âges d’une durée de 12 000 ans. La Grande Année ou l’Année Parfaite des Grecs était diversement représentée comme ayant une durée de 12 954 ans (Cicéron) ou de 10 800 ans (Héraclite). Il est certain que le cycle du Yuga ne peut pas avoir des durées différentes selon les cultures.

    Dans son livre The Holy Science (1894), Sri Yukteswar a expliqué qu’un cycle Yuga complet dure 24 000 ans et qu’il est composé d’un cycle ascendant de 12 000 ans au cours duquel la vertu augmente progressivement et d’un cycle descendant de 12 000 ans au cours duquel la vertu diminue progressivement. Ainsi, après avoir terminé un cycle descendant de 12 000 ans, du Satya Yuga au Kali Yuga, la séquence s’inverse et un cycle ascendant de 12 000 ans commence, allant du Kali Yuga au Satya Yuga. Yukteswar affirme que « Chacune de ces périodes de 12 000 ans apporte un changement complet, tant à l’extérieur dans le monde matériel, qu’à l’intérieur dans le monde intellectuel ou électrique, et est appelée l’un des Daiva Yugas ou Couple électrique ». (9) 

    La durée de 24 000 ans du cycle complet du Yuga est très proche de l’année de précession de 25 765 ans, qui est le temps pris par le soleil pour « précéder », c’est-à-dire reculer, à travers les 12 constellations du Zodiaque. Il est intéressant de noter que le Surya Siddhanta spécifie une valeur de 54 secondes d’arc par an pour la précession, contre la valeur actuelle de 50,29 secondes d’arc par an. Cela se traduit par une année de précession d’exactement 24 000 ans ! Cela signifie que la valeur actuelle observée de la précession pourrait simplement être une déviation temporaire de la moyenne.

    Le concept d’un cycle ascendant et descendant de Yugas est encore répandu chez les bouddhistes et les jaïns. Les Jaïns croient qu’un cycle temporel complet (Kalachakra) comporte une moitié progressive et une moitié régressive. Pendant la moitié progressive du cycle (Utsarpini), il y a une augmentation graduelle de la connaissance, du bonheur, de la santé, de l’éthique et de la spiritualité, tandis que pendant la moitié régressive du cycle (Avasarpini), il y a une réduction graduelle de ces qualités. Ces deux demi-cycles se suivent dans une succession ininterrompue pour l’éternité, tout comme les cycles du jour et de la nuit ou la montée et la descente de la lune. 

    Les Grecs anciens semblent également avoir cru à un cycle des âges ascendant et descendant. Le poète grec Hésiode (vers 750 avant J.-C. – 650 avant J.-C.) avait donné un compte rendu des âges du monde dans Les travaux et les jours, dans lequel il insérait un cinquième âge appelé « âge des héros », entre l’âge du bronze et l’âge du fer. Dans Hesiod’s Cosmos, Jenny Strauss Clay écrit :

    « S’inspirant du mythe de l’Homme d’État de Platon, Vernant a également affirmé que le cadre temporel du mythe hésiodique, c’est-à-dire la succession des races, n’est pas linéaire mais cyclique ; à la fin de l’âge du fer, qu’il divise en deux, le cycle des races recommence avec un nouvel âge d’or ou, plus vraisemblablement, un nouvel âge des héros, puisque la séquence s’inverse…Vernant lui-même offre une solution lorsqu’il remarque qu’ » il n’y a pas en réalité un âge du fer mais deux types d’existence humaine » (10).

    Ceci est très intéressant. Jean-Pierre Vernant, spécialiste renommé de la culture grecque antique, pense que le cycle des âges s’inverse comme le raconte Hésiode. De plus, il affirme que l’âge de fer comporte deux parties, ce qui correspond à l’interprétation de Yukteswar selon laquelle le Kali Yuga descendant est suivi du Kali Yuga ascendant. Nous pouvons supposer, dans ce contexte, que « l’âge des héros », qui a immédiatement suivi l’âge du bronze dans le récit d’Hésiode, doit être le nom attribué par Hésiode au Kali Yuga descendant.

    Les preuves provenant de différentes sources soutiennent la notion d’un cycle Yuga complet de 24 000 ans, composé d’un cycle ascendant et descendant de 12 000 ans chacun. Cela nous amène à la question des durées relatives des différents Yugas du cycle Yuga et des périodes de transition, qui se produisent au début et à la fin de chaque Yuga, et sont connues respectivement sous les noms de Sandhya (aube) et Sandhyansa (crépuscule). Les valeurs figurant dans le tableau suivant sont fournies par les textes sanskrits pour la durée des Yugas et leurs aubes et crépuscules respectifs :

    Des Yugas de même durée ?

    Puisque tant d’inexactitudes se sont glissées dans la doctrine des cycles, comme l’ont souligné Yukteswar et Tilak, nous devons également remettre en question l’exactitude des durées relatives des Yugas mentionnées dans les textes sanskrits. Bien que le cycle du Yuga soit mentionné dans les récits mythiques d’une trentaine de cultures anciennes, comme l’a décrit Giorgio de Santillana, professeur d’histoire des sciences au MIT, dans son livre Hamlet’s Mill (1969), nous trouvons très peu d’informations concernant les durées relatives des différents âges de ce cycle. 

    Dans les rares récits où les durées des Yugas sont précisées, nous constatons que chaque âge du cycle Yuga a la même durée. Par exemple, les Zoroastriens croient que le monde dure 12 000 ans et qu’il est divisé en quatre âges égaux de 3 000 ans chacun. Une source mexicaine connue sous le nom de Codex Rios (également appelée Codex 3738 et Codex Vaticanus A) indique que chaque âge dure respectivement 4 008, 4 010, 4 801 et 5 042 ans, soit un total de 17 861 ans. Nous pouvons constater que dans ce cas également, la durée de chaque âge est presque la même. 

    Par conséquent, les durées des quatre Yugas mentionnées dans les textes sanskrits (c’est-à-dire 4 800, 3 600, 2 400 et 1 200 ans) s’écartent de la norme. La durée de chaque Yuga, dans cette séquence, diminue de 1 200 ans par rapport au précédent. Il s’agit d’une progression arithmétique que l’on retrouve rarement, voire jamais, dans les cycles naturels. Se pourrait-il que les durées des Yuga aient été délibérément modifiées à un moment donné dans le passé afin de donner l’impression que la durée de chaque Yuga diminue en même temps que la diminution de la vertu d’un Yuga à l’autre ?

    Voici le fait le plus surprenant : deux des astronomes les plus célèbres de l’Inde ancienne, Aryabhatta et Paulisa, croyaient que le cycle Yuga est composé de Yugas de durée égale ! Au 11e siècle, le savant médiéval Al-Beruni avait compilé un commentaire complet sur la philosophie, les sciences et la culture indiennes intitulé L’Inde d’Alberuni, dans lequel il mentionne que la doctrine du cycle du Yuga était basée sur les dérivations de l’astronome indien Brahmagupta, qui à son tour tirait ses connaissances des textes sanskrits Smriti. Il fait une déclaration intéressante à cet égard :

    « De plus, Brahmagupta dit que « Aryabhatta considère les quatre yugas comme les quatre parties égales du caturyuga (cycle du Yuga). Ainsi, il diffère de la doctrine du livre Smriti, que nous venons de mentionner, et celui qui diffère de nous est un adversaire » (11).

    Le fait qu’Aryabhatta croyait que les quatre Yugas étaient de durée égale est extrêmement pertinent ! Al-Beruni le réaffirme sans ambages : « Par conséquent, selon Aryabhatta, le Kali Yuga a 3 000 années divya…. chaque deux yugas a 6 000 années divya… chaque trois ans a 9 000 années divya. » Pourquoi Aryabhatta souscrirait-il à une telle croyance ? Avait-il accès à des sources d’information qui sont aujourd’hui perdues pour nous ?

    Paulisa, un autre célèbre astronome de l’Inde ancienne, a également souscrit à l’idée de Yugas de durée égale. Alberuni dit que, lorsqu’il présente les calculs de la durée d’un kalpa, « il (Pulisa) n’a pas changé les caturyugas en yugas exacts, mais les a simplement changés en quatrièmes parties, et a multiplié ces quatrièmes parties par le nombre d’années d’une seule quatrième partie  » (12).

    Ainsi, deux des astronomes les plus respectés de l’Inde ancienne, Aryabhatta et Paulisa, croyaient en un cycle Yuga composé de 4 Yugas d’une durée égale de 3 000 années divines chacun. Cependant, leur opinion était éclipsée par le point de vue contradictoire de Brahmagupta. Ce dernier se déchaînait contre Aryabhatta et les autres astronomes qui avaient des opinions divergentes, et les malmenait même. Al-Beruni dit à propos de Brahmagupta :

    « Il est grossier au point de comparer Aryabhatta à un ver qui, mangeant le bois, y décrit par hasard certains caractères sans les comprendre et sans avoir l’intention de les dessiner. « Lui, cependant, qui connaît ces choses à fond, s’oppose à Aryabhatta, Srishena et Vishnucandra comme le lion s’oppose aux gazelles. Ils ne sont pas capables de lui laisser voir leur visage. » En des termes aussi offensifs, il attaque Aryabhatta et le maltraite » (13). 

    Nous pouvons maintenant comprendre pourquoi l’opinion de Brahmagupta a finalement prévalu sur celle des autres astronomes de son temps, et cela n’avait certainement rien à voir avec la solidité inhérente de sa logique, ou l’authenticité de ses sources.

    Il est temps pour nous de cesser de nous opposer à Aryabhatta, Paulisa, Srishena, Vishnucandra et d’autres comme « le lion s’oppose aux gazelles », et de prendre connaissance de la possibilité très réelle que les Yugas du cycle Yuga soient de durée égale, et que la séquence 4:3:2:1 des Yugas ait pu être une manipulation mathématique qui s’est glissée dans la doctrine du cycle Yuga quelque temps avant l’an 500 de notre ère. Il est possible que cette manipulation ait été introduite parce que les gens étaient enclins à croire que la durée d’un Yuga devait diminuer en tandem avec la diminution de la vertu et de la longévité humaine d’un Yuga à l’autre. Une formule précise a été élaborée, selon laquelle la durée totale des Yugas s’élève à 12 000 ans. Cependant, il y avait un problème. Si le Kali Yuga est d’une durée de 1 200 ans, il aurait dû être achevé plusieurs fois, depuis son début proposé en 3102 avant notre ère. Afin de contourner cette situation potentiellement embarrassante, une autre complexité a été introduite. Chaque « année » du cycle du Yuga est devenue une « année divine » composée de 360 années humaines. Le cycle du Yuga fut gonflé à 4 320 000 ans (12 000×360) et le Kali Yuga devint égal à 432 000 ans (1 200×360). L’humanité fut condamnée à une durée interminable de ténèbres. 

    Le cycle originel codé dans le calendrier Saptarshi.

    La doctrine originale des cycles semble avoir été très simple : Un cycle Yuga d’une durée de 12 000 ans, chaque Yuga durant 3 000 ans. Ce cycle est codé dans le calendrier Saptarshi qui est utilisé en Inde depuis des milliers d’années. Il a été largement utilisé au cours de la période Maurya, au 4e siècle avant J.-C., et est toujours en usage dans certaines régions de l’Inde. Le terme Saptarshi fait référence aux « sept Rishis » ou aux « sept Sages », qui représentent les sept étoiles de la constellation de la Grande Ourse (Ursa Major). Ils sont considérés comme les rishis éclairés qui apparaissent au début de chaque Yuga pour diffuser les lois de la civilisation. Le calendrier Saptarshi utilisé en Inde avait un cycle de 2700 ans ; on dit que la constellation de la Grande Ourse reste 100 ans dans chacun des 27 Nakshatras (astérismes lunaires), ce qui donne un cycle de 2700 ans. (14) Le cycle de 2700 ans était également appelé ère Saptarshi ou Yuga Saptarshi. 

    La constellation de la Grande Ourse (Ursa Major) est clairement visible dans le ciel boréal tout au long de l’année. Les sept étoiles proéminentes représentent les sept Sages (Saptarshi), chacun d’entre eux étant représenté dans le tableau.

    Si le cycle de 2700 ans du calendrier Saptarshi représente la durée réelle d’un Yuga, alors les 300 années restantes sur la durée totale du Yuga de 3000 ans représentent automatiquement la « période de transition », avant que les qualités du Yuga suivant ne se manifestent pleinement. La durée totale du cycle Yuga, à l’exclusion des périodes de transition, est égale à (2 700×4), soit 10 800 ans, ce qui correspond à la durée de la « Grande Année d’Héraclite » dans la tradition hellénique ! Cela indique clairement que la base sous-jacente du cycle des âges mondiaux en Inde et en Grèce était le cycle Saptarshi de 2 700 ans.

    Les historiens s’accordent à dire que le calendrier Saptarshi, utilisé pendant la période Maurya au 4e siècle avant notre ère, a commencé en 6676 avant notre ère. Dans le livre Traditions of the Seven Rsis, le Dr J.E. Mitchiner le confirme : 

    « Nous pouvons conclure que la version plus ancienne et originale de l’ère des Sept Rsis a commencé avec les Sept Rsis de Krttika en 6676 avant notre ère… Cette version était en usage dans le nord de l’Inde depuis au moins le IVe siècle avant notre ère, comme en témoignent les déclarations d’écrivains grecs et romains ; c’était aussi la version utilisée par Vrddha Garga, vers le début de l’ère chrétienne » (15). 

    En fait, la chronologie enregistrée des rois indiens remonte à plus de 6676 avant notre ère, comme en témoignent les historiens grecs et romains Pline et Arrien. Pline affirme que « depuis le Père Liber [Bacchus romain ou Dionysos grec] jusqu’à Alexandre le Grand (m. 323 avant J.-C.), les Indiens comptent 154 rois, et ils comptent (le temps comme) 6 451 ans et 3 mois ». (16) Arrian place 153 rois et 6 462 ans entre Dionysos et Sandrokottos (Chandragupta Maurya), à la cour duquel une ambassade grecque a été envoyée en 314 avant J.-C. (17) Les deux indications donnent une date approximative de 6776 avant J.-C., soit 100 ans avant le début du calendrier Saptarshi en 6676 avant J.-C.

    Il est évident, d’après les récits de Pline et d’Arrian, qu’ils ont dû identifier un roi spécifique dans la liste des rois indiens qui correspondait au Dionysos grec ou au Bacchus romain, et dont le règne avait pris fin vers 6776 avant notre ère. Qui cela pouvait-il être ? Selon le célèbre érudit et orientaliste Sir William Jones, Dionysos ou Bacchus n’était autre que le monarque indien Rama. Dans son essai « Sur les dieux de la Grèce, de l’Italie et de l’Inde » (1784), Sir William Jones 

    « considère que Rama est le même que le grec Dionysos, qui aurait conquis l’Inde avec une armée de satyres, commandée par Pan ; et Rama était aussi un puissant conquérant, et avait une armée de grands singes ou satyres, commandée par Maruty (Hanuman), fils de Pavan. On trouve également que Rama ressemble, sur d’autres points, au Bacchus indien » (18).

    Sir William Jones fait également remarquer que, 

    « Les Grecs disent que Meros était une montagne de l’Inde, sur laquelle leur Dionysos est né, et que Meru est aussi une montagne près de la ville de Naishada, ou Nysa, appelée par les géographes grecs Dionysopolis, et universellement célébrée dans les poèmes sanskrits » (19).

    L’identification de Dionysos à Rama nous offre de nouvelles perspectives. Selon la tradition indienne, Rama a vécu vers la fin du Treta Yuga (âge d’argent), et le Dwapara Yuga (âge de bronze) a commencé peu après sa disparition. Cela implique que la date de 6676 avant J.-C. pour le début du calendrier Saptarshi, soit 100 ans après Dionysos, c’est-à-dire Rama, indique le début du Dwapara Yuga dans le cycle descendant.

    Un calendrier Saptarshi ultérieur, toujours utilisé en Inde, commence en 3076 avant notre ère. Mais, comme le souligne le Dr Subhash Kak, « le nouveau compte qui remonte à 3076 avant J.-C. a été commencé plus tard pour être aussi proche que possible du début de l’ère Kali ». (20) Dans le livre Traditions of the Seven Rsis, le Dr Mitchiner dit que le calendrier Saptarshi pour le Kali Yuga (le Laukika Abda du Cachemire) a commencé lorsque les Saptarshis étaient à Rohini. Puisque les Saptarshis étaient à Rohini en 3676 avant notre ère, cela implique que le cycle du Kali Yuga a dû commencer en 3676 avant notre ère. 

    Retrouver la véritable date de fin du Kali Yuga actuel.

    C’est là que ça devient intéressant. Une ère Saptarshi a commencé en 6676 avant Jésus-Christ, et un autre cycle a commencé exactement 3 000 ans plus tard, en 3676 avant Jésus-Christ. Mais le cycle Saptarshi est d’une durée de 2 700 ans. Pourquoi l’ère Saptarshi pour le Kali Yuga a-t-elle commencé 3 000 ans après le cycle précédent ? Cela signifie qu’une « période de transition » de 300 ans a dû être ajoutée à la fin du cycle précédent ! Cela prouve clairement l’hypothèse selon laquelle le cycle Saptarshi de 2 700 ans, accompagné d’une période de transition de 300 ans, était la base calendaire originale du cycle. 

    Si nous utilisons la date de 6676 avant J.-C. comme le début du Dwapara Yuga dans le cycle descendant, et le cycle Saptarshi de 2700 ans avec une période de transition de 300 ans comme base du cycle Yuga, alors la chronologie entière du cycle Yuga est démêlée.

    Cette chronologie du cycle Yuga situe le début de l’âge d’or en 12 676 avant J.-C., soit plus de 14 500 ans avant aujourd’hui, lorsque la Grande Ourse se trouvait dans le nakshatra Shravana (la Grande Ourse avance de 3 nakshatras dans chaque Yuga en raison de la période de transition de 300 ans). Cela concorde parfaitement avec la tradition indienne, puisque le Mahabharata mentionne que, dans l’ancienne tradition, le Shravana nakshatra occupait la première place dans le cycle des nakshatras. 

    La ligne du temps indique également que le Kali Yuga ascendant, qui est l’époque actuelle dans laquelle nous vivons, se terminera en 2025 de notre ère. La manifestation complète du prochain Yuga – le Dwapara Yuga ascendant – aura lieu en 2325 de notre ère, après une période de transition de 300 ans. Le Dwapara Yuga ascendant sera ensuite suivi de deux autres Yugas : le Treta Yuga ascendant et le Satya Yuga ascendant, qui complètent le cycle ascendant de 12 000 ans. 

    Le texte sanskrit Brahma-vaivarta Purana décrit un dialogue entre le Seigneur Krishna et la Déesse du Gange. Krishna y déclare qu’après les 5 000 ans du Kali Yuga, un nouvel âge d’or se lèvera et durera 10 000 ans. Ceci peut être immédiatement compris dans le contexte de la chronologie du cycle du Yuga décrit ici. Nous terminons actuellement le Kali Yuga, près de 5 700 ans après son début en 3676 avant notre ère. Et la fin du Kali Yuga sera suivie de trois autres Yugas d’une durée de 9 000 ans, avant la fin du cycle ascendant. 

    Preuves archéologiques et historiques.

    Selon la doctrine des cycles, les périodes de transition entre les Yugas sont associées à un effondrement des civilisations et à des catastrophes environnementales (pralaya), qui effacent pratiquement toute trace de civilisation humaine. La nouvelle civilisation qui émerge dans le nouveau Yuga est guidée par quelques survivants du cataclysme, qui portent avec eux les connaissances techniques et spirituelles de l’époque précédente. De nombreuses sources anciennes nous parlent de l’énigmatique groupe des « Sept Sages » (« Saptarshi ») qui apparaîtrait au début de chaque Yuga et promulguerait les arts de la civilisation. Nous les retrouvons dans les mythes du monde entier – à Summer, en Inde, en Polynésie, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. Ils possédaient une sagesse et un pouvoir infinis, pouvaient voyager sur terre et sur l’eau, et prenaient diverses formes à volonté. Le calendrier Saptarshi de l’Inde ancienne semble avoir été fondé sur leur apparition périodique au début de chaque Yuga.

    Comme nous le verrons, la chronologie du cycle Yuga proposée ici présente une très forte corrélation avec les événements cataclysmiques majeurs qui frappent périodiquement notre planète, ainsi qu’avec un certain nombre de dates importantes consignées dans divers calendriers et écritures anciennes. 

    La première période de transition dans le cycle descendant de 12 000 ans du Yuga est la période de 300 ans à la fin de l’âge d’or, de 9976 à 9676 avant notre ère. C’est à cette époque que la dernière période glaciaire a pris fin soudainement ; le climat est devenu très chaud assez brusquement, et il y a eu une inondation mondiale catastrophique. De nombreuses légendes anciennes font référence à cette période. Dans le Timée, Platon nous parle de l’île mythique de l’Atlantide qui a été engloutie par la mer en « un seul jour et une seule nuit de malheur », vers 9600 avant notre ère. Les Zoroastriens croient que le monde a été créé par Ahura Mazda vers 9600 avant notre ère (soit 9000 ans avant la naissance de leur prophète Zoroastre, vers 600 avant notre ère).

    Cet événement a également été rapporté dans les mythes du déluge de nombreuses cultures anciennes, qui parlent presque tous d’énormes murs d’eau qui ont submergé toute la terre jusqu’aux plus hauts sommets des montagnes, ainsi que de fortes pluies, de boules de feu tombées du ciel, d’un froid intense et de longues périodes d’obscurité. L’archéologue Bruce Masse, du Laboratoire national de Los Alamos au Nouveau-Mexique, a examiné un échantillon de 175 mythes du déluge provenant de différentes cultures du monde et a conclu que les aspects environnementaux décrits dans ces événements, ce qui est également cohérent avec les données archéologiques et géophysiques, n’auraient pu être précipités que par un impact destructeur de comète océanique en eau profonde (21).

    Ces dernières années, une équipe de scientifiques internationaux a trouvé des preuves irréfutables que la Terre a été bombardée par de multiples fragments d’une comète géante il y a près de 12 800 ans, déclenchant le début d’une période de refroidissement rapide et intense appelée Younger Dryas, qui a duré près de 1 200 ans jusqu’à environ 9700 avant notre ère. La force de l’impact de la comète, combinée à la vague de froid vicieuse qui a suivi, a entraîné l’extinction d’un grand nombre de mégafaunes nord-américaines, dont les mammouths laineux et les paresseux géants, et a mis fin à une civilisation préhistorique appelée culture Clovis – les premiers habitants humains du Nouveau Monde (22).

    Le Younger Dryas s’est terminé aussi brusquement qu’il avait commencé, pour des raisons qui ne sont pas entièrement comprises. Des géologues de l’Institut Niels Bohr (NBI) de Copenhague ont étudié les données des carottes de glace du Groenland et ont conclu que la période glaciaire s’est terminée exactement en 9703 avant notre ère. Le chercheur Jorgen Peder Steffensen a déclaré que « dans la transition entre l’ère glaciaire et la période chaude et interglaciaire actuelle, le changement climatique est si soudain que c’est comme si on avait appuyé sur un bouton ». (23) La date de 9703 avant J.-C. pour le changement climatique soudain se situe dans la période de transition de 300 ans à la fin de l’âge d’or, de 9976 à 9676 avant J.-C., et en tant que telle, elle fournit la première validation importante de la chronologie du cycle Yuga identifiée ici.

    Catastrophe de la mer Noire et inondations mondiales.

    La période de transition de 300 ans entre le Treta Yuga (âge d’argent) et le Dwapara Yuga (âge du bronze), qui s’étend de 6976 à 6676 avant notre ère, coïncide également avec un événement environnemental important, la catastrophe de la mer Noire, récemment datée de 6700 avant notre ère. La mer Noire était autrefois un lac d’eau douce. Jusqu’à ce que la mer Méditerranée, gonflée par les eaux de fonte des glaciers, rompe un barrage naturel et traverse l’étroit détroit du Bosphore, inondant la mer Noire de façon catastrophique. Le niveau des eaux de la mer Noire a alors augmenté de plusieurs centaines de pieds, inondé plus de 60 000 miles carrés de terres et considérablement étendu le littoral de la mer Noire (d’environ 30 %). (24) Cet événement a fondamentalement changé le cours de la civilisation en Europe du Sud-Est et en Anatolie occidentale. Les géologues Bill Ryan et Walter Pitman de l’Observatoire terrestre Lamont-Doherty de New York, qui ont été les premiers à proposer l’hypothèse de la catastrophe de la mer Noire, sont allés jusqu’à la comparer au déluge de Noé. 

    Des inondations majeures similaires ont eu lieu dans de nombreuses régions du monde, lorsque des lacs glaciaires massifs, gonflés par les eaux de la fonte des glaces, ont brisé leurs barrières de glace et se sont précipités dans les zones environnantes. Entre 6900 et 6200 avant notre ère, l’inlandsis laurentidien s’est désintégré dans la baie d’Hudson et une énorme quantité d’eaux glaciaires provenant du lac Agassiz/Ojibway s’est déversée dans la mer du Labrador. Il s’agit probablement de la « plus grande inondation de l’ère quaternaire », qui a pu à elle seule élever le niveau global des mers d’un demi-mètre. (25) La période comprise entre 7000 et 6000 avant notre ère a également été caractérisée par des tremblements de terre gigantesques en Europe. Dans le nord de la Suède, certains de ces séismes ont provoqué des « vagues au sol » de 10 mètres de haut, appelées « tsunamis rocheux ». Il est possible que la chaîne mondiale d’événements cataclysmiques survenus pendant cette période de transition ait été déclenchée par une seule cause sous-jacente, qu’il nous reste à découvrir.

    La période de transition entre le Dwapara Yuga et le Kali Yuga, de 3976 à 3676 avant notre ère, a de nouveau été marquée par une série de cataclysmes environnementaux, dont la nature exacte reste un mystère. En géologie, on l’appelle « the 5.9 kiloyear event », et il est considéré comme l’un des événements d’aridification les plus intenses de la période holocène. Il s’est produit vers 3900 avant notre ère, mettant fin au sous-pluvial néolithique et initiant la plus récente dessiccation du désert du Sahara. Au même moment, entre 4000 et 3500 avant notre ère, les plaines côtières de Sumer ont subi de graves inondations, qui « ont été l’effet local d’un épisode mondial d’inondations rapides et de relativement courte durée, connu sous le nom de transgression flandrienne, qui a eu un impact significatif non seulement sur les rives du Golfe, mais aussi dans de nombreuses autres régions d’Asie ». (26) Cette inondation catastrophique a entraîné la fin de la période oubaid en Mésopotamie et a déclenché une migration mondiale vers les vallées fluviales. Peu après, nous constatons l’émergence des premiers peuplements des vallées fluviales en Égypte, en Mésopotamie et dans la vallée de l’Indus, vers 3500 avant notre ère.

    Cette période de transition entre les Yugas est également enregistrée dans les calendriers anciens. Pendant très longtemps, la croyance selon laquelle le monde a été créé en 4004 avant notre ère a prévalu dans le monde occidental. Cette date nous vient des généalogies de l’Ancien Testament. Cette date précède de 28 ans seulement la fin du Dwapara et le début de la période de transition. L’année de la création du monde dans le calendrier religieux juif est 3761 avant notre ère, ce qui se situe au milieu de la période de transition.

    Âges sombres et grands bouleversements en Grèce.

    Selon les anciennes traditions, le Kali Yuga descendant, appelé par Hésiode « l’âge des héros », a pris fin avec la bataille livrée dans les plaines de Troie. La chronologie du cycle du Yuga indique que la période intermédiaire de 300 ans entre le Kali Yuga descendant et le Kali Yuga ascendant s’étendait de 976 à 676 avant notre ère. Il est très intéressant de noter que cette période chevauche la période de 300 ans allant de 1100 à 800 avant notre ère, que les historiens appellent l’âge des ténèbres grec ! 

    Les historiens considèrent l’âge des ténèbres grec comme une période de transition entre l’âge du bronze tardif et le début de l’âge du fer. Robert Drews écrit que : 

    « En l’espace de quarante à cinquante ans, à la fin du treizième et au début du douzième siècle (vers 1200 – 1100 avant notre ère), presque toutes les villes importantes du monde méditerranéen oriental ont été détruites, et beaucoup d’entre elles ne seront plus jamais occupées » (27).

    Cette perturbation soudaine et violente a plongé l’ensemble du Proche-Orient, de l’Afrique du Nord, du Caucase, de la mer Égée et des Balkans dans un âge des ténèbres qui a duré trois cents ans et a été caractérisé par de grands bouleversements, la famine, le dépeuplement et des mouvements massifs de population. Presque toutes les villes entre Pylos et Gaza ont été violemment détruites, et beaucoup ont été abandonnées. Les économies de palais de Mycènes et d’Anatolie s’effondrent, et les gens vivent dans de petits établissements isolés. 

    En Égypte, la période allant de 1070 à 664 avant J.-C. est connue sous le nom de « troisième période intermédiaire », au cours de laquelle l’Égypte a été envahie par des souverains étrangers. La désintégration politique et sociale et le chaos ont régné, accompagnés d’une série de sécheresses dévastatrices. En Inde, la civilisation de la vallée de l’Indus a finalement pris fin vers 1000 avant J.-C., et après un intervalle de près de 400 ans, nous assistons à l’émergence des 16 grands royaumes (Mahajanapadas) dans les plaines du Gange vers 600 avant J.-C. C’est également à cette époque qu’une catastrophe a frappé la civilisation olmèque de Méso-Amérique. Une destruction massive de nombreux monuments de San Lorenzo a eu lieu vers 950 avant notre ère et le site a été abandonné vers 900 avant notre ère. Les chercheurs pensent que des changements environnementaux radicaux ont pu être à l’origine de ce déplacement des centres olmèques, certaines rivières importantes ayant changé de cours.

    Lorsque le Kali Yuga ascendant a commencé en 676 avant notre ère, une grande partie des connaissances, traditions et compétences du Kali Yuga descendant ont été oubliées. Peut-être en réponse à cette grave crise sociale, un certain nombre de philosophes et de prophètes sont apparus à cette époque, essayant de redécouvrir la sagesse perdue et de la diffuser parmi les masses ignorantes. Parmi eux, citons Bouddha (623 avant J.-C.), Thalès (624 avant J.-C.), Pythagore (570 avant J.-C.), Confucius (551 avant J.-C.), Zoroastre (600 avant J.-C.) et Mahavir Jain (599 avant J.-C.). Mais une grande partie du savoir sacré a été irrémédiablement perdue. Par exemple, les Vedas originaux comprenaient 1 180 sakhas (c’est-à-dire des branches), dont on ne se souvient plus que de 7 ou 8 sakhas (moins de 1%). Diverses erreurs, omissions et interpolations se sont également glissées dans les textes anciens lors de leur révision et de leur rédaction. Les erreurs dans la doctrine du cycle Yuga en font partie. 

    La chronologie des cycles proposée ici reflète avec précision les catastrophes environnementales mondiales qui accompagnent les périodes de transition entre les Yugas. Tous les 2700 ans, notre planète est touchée par une série d’événements cataclysmiques pendant une période de quelques centaines d’années, ce qui entraîne un effondrement total ou quasi total des civilisations à travers le monde. Dans tous les cas, cependant, la civilisation redémarre immédiatement après la période de destruction. Les quatre périodes de transition clés, depuis la fin de l’âge d’or, sont résumées dans le tableau ci-dessus.

    Il est évident que le cycle du Yuga était suivi à l’aide du calendrier Saptarshi. Il était d’une durée de 12 000 ans, composé de quatre Yugas d’une durée égale de 2 700 ans chacun, séparés par des périodes de transition de 300 ans. Le cycle complet du Yuga, d’une durée de 24 000 ans, se composait d’un Yuga ascendant et d’un Yuga descendant, qui se succédaient pour l’éternité comme les cycles du jour et de la nuit. Au cours des 2700 dernières années, nous avons traversé le Kali Yuga ascendant, et ce Yuga prendra fin en 2025. 

    Conformément à la convention, la période de transition de 300 ans qui suivra 2025 peut être divisée en deux périodes de 150 ans chacune. La première période de 150 ans – le « crépuscule de Kali » – correspond au moment où les structures du Kali Yuga risquent de s’effondrer en raison d’une combinaison de guerres, de catastrophes environnementales et de changements cosmiques, tandis que la seconde période de 150 ans – l’ »aube de Dwapara » – correspond au moment où les systèmes et les philosophies spirituellement évolués du Dwapara Yuga peuvent commencer à émerger. Il est probable, cependant, que les processus jumeaux d’effondrement et d’émergence progresseront simultanément tout au long de la période de transition de 300 ans, bien qu’à des intensités différentes. 

    La recrudescence actuelle des activités tectoniques et des phénomènes météorologiques extrêmes d’une part, et les premiers signes de l’éveil d’une conscience supérieure parmi l’humanité d’autre part, peuvent indiquer que les effets de la période de transition sont déjà en cours. Nous devons être conscients de ces grands cycles du temps qui régissent la civilisation humaine, et des changements qui se profilent à l’horizon.

     

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    SUITE DE L’ARTICLE

    Première constation:

    Le “glacier de l’apocalypse” menace le monde…bientôt dissous dans les ténèbres de l’océan

     

    Quand ? Personne ne le sait. Mais les conséquences planétaires de l’effondrement du “glacier de l’apocalypse” ou glacier Thwaites, vont être sans précédent, entraînant “une élévation du niveau des mers d’environ 3 mètres”. rapporte Futura-Sciences. Solution ? Des ingénieurs auraient pour projet de construire des rideaux sous-marins en métal pour éviter la catastrophe et ralentir la fonte de la glace. 

    Les océans se réchauffent… Les courants marins provoquent l’érosion des glaciers et les menacent d’un effondrement total. Avec des répercussions terribles sur la planète. 

    C’est l’écrivain Jeff Goodell qui a surnommé le Thwaites “glacier de l’apocalypse” en 2017. Il s’agit d’un “gigantesque glacier situé dans la partie ouest de l’Antarctique. Ses dimensions : 600 kilomètres de long pour 120 kilomètres de large et 1 kilomètre d’épaisseur, soit la superficie d’un pays comme l’Irlande.” Représentons-nous donc l’Irlande et imaginons le pays sous l’eau, complètement dissous dans l’océan mondial. Une scène qui deviendra réalité si l’urgence de la situation n’est pas considérée par les hauts responsables.  

    Une protection défaillante 

    Le réchauffement climatique, conséquence des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine, entraîne l’écoulement inévitable d’eau de mer salée et chaude dans l’océan. Un phénomène qui se heurte aux parois de glace qui constituaient jusqu’alors une protection contre l’effondrement du bord du plateau du Thwaites. Une protection mise à mal et dont la défaillance plongera le monde sous les eaux. 

    Le Thwaites est également sujet à des “faiblesses d’ordre structurelles : en 2019, une énorme cavité a été découverte sous le glacier, fragilisant l’édifice.” indique Futura-Sciences. Selon une étude, “des crevasses à l’origine de fissures visibles sur le glacier” auraient été identifiées “et 50 à 70 % d’entre elles pourraient se fracturer dans les années à venir par remplissage d’eau.” A l’échelle mondiale, la fonte du glacier de l’apocalypse a déjà contribué à 4% de l’augmentation du niveau de la mer. La fonte ne faisant que s’accélérer avec le temps ; “depuis 2000, Thwaites a perdu plus de 1 000 milliards de tonnes de glace, soit 30 % de plus que la quantité d’eau douce rejetée auparavant.” Les glaciologues estiment que la disparition totale du glacier pourrait avoir lieu dans les prochains siècles. “À lui seul, son effondrement entraînerait une élévation du niveau de la mer de 50 centimètres, et avec elle le déplacement de 97 millions d’humains.” Avec, comme le souligne Futura-Sciences, un effet domino sans précédent et une cascade de fonte qui pourrait faire monter le niveau des mers de 3 mètres supplémentaires, d’où son appellation de glacier de l’apocalypse. Conséquence ? Une accélération du réchauffement climatique, une entrave à la bonne régulation du climat (les glaces réfléchissant 95% du rayonnement solaire) et la libération du CO2 emprisonné en leur sein depuis des années. 

    Une solution? Le mur de fer

    C’est le chercheur en géo-ingénierie à l’université de Laponie et glaciologue, John Moore, qui dévoile son projet de rideaux sous-marins pour empêcher l’eau de mer de faire fondre les glaciers. Ces murailles métalliques feraient 100 kilomètres de long et “bloqueraient le flux de courants chauds vers le Thwaites afin de stopper la fonte et de donner à la plate-forme de glace le temps nécessaire de se reconstituer.” Un prototype d’un mètre de long est actuellement testé par des chercheurs de l’université de Cambridge en Angleterre. Le système fonctionne ? Une fois la démonstration faite, ils passeront aux essais dans la River Cam (Cambridge), et si tout se passe bien, « ils pourraient tester un ensemble de prototypes de rideaux de 10 mètres de long dans un fjord norvégien d’ici 2025.” Le premier mur de l’Histoire qui ne sera pas le fruit d’un conflit entre les peuples et qui ne divisera personne !

    Seconde Constatation:

    « Une ère de chaos sans précédent”: l’ONU annonce le pire

     

    Il y a 2 semaines , l’Onu (Organisation des Nations unies) a tiré la sonnette d’alarme. 2023 signe le record de l’année la plus chaude jamais connue. 

    L’Organisation météorologique mondiale (OMM), agence de l’Onu, indique dans un nouveau rapport que des records ont été “pulvérisés” cette dernière décennie : chaleur des océans, recul des glaciers, températures de surface et élévation du niveau de la mer. Selon le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, nous entrons dans une ère de chaos climatique sans précédent. En cause ? La pollution par les combustibles fossiles. « Il est encore temps de lancer une bouée de sauvetage aux populations et à la planète »… Mais le sauvetage doit se faire maintenant. 

    Selon le rapport de l’OMM, “2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée avec une température moyenne à la surface du globe de 1,45°C au-dessus du niveau de référence de l’ère préindustrielle.” indique RTL info. « Chaque fraction de degré de réchauffement climatique a un impact sur l’avenir de la vie sur Terre », alerte le chef de l’Onu. Chaque jour, ce sont des millions de vie qui subissent de plein fouet les vagues de chaleur, les feux incontrôlés, l’intensification des cyclones tropicaux et les sécheresses. Des phénomènes climatiques qui engendrent la misère et le chaos mais aussi d’importantes pertes économiques. L’OMM fait état de plusieurs milliards de dollars. 

    Mme Saulo, la secrétaire générale de l’OMM, insiste : « jamais nous n’avons été aussi proches – bien que temporairement pour le moment – de la limite inférieure fixée à 1,5 °C dans l’Accord de Paris sur les changements climatiques ». Elle affirme d’ailleurs, au nom de toute la communauté météorologique mondiale que “nous sommes en alerte rouge”.

    L’année dernière, un tiers, environ, des océans dans le monde étaient pris au piège dans une vague de chaleur marine. “L’augmentation de la fréquence et de l’intensité des vagues de chaleur marines entraîne de profondes répercussions négatives sur les écosystèmes marins et les récifs coralliens.” rapporte RTL info. Le niveau de la mer ayant atteint un niveau record, à l’échelle du globe, le réchauffement des océans ne peut que se poursuivre, de même que la fonte des glaciers.  

    D’après l’OMM, tout espoir n’est cependant pas perdu puisque “les capacités de production d’énergie renouvelable en 2023 ont augmenté de près de 50% sur un an, le taux le plus élevé observé au cours des deux dernières décennies.”

     

    Troisième Constatation:La Montée des Eaux

    En raison du réchauffement climatique, le niveau des mers s’élève rapidement. Ce phénomène pourrait causer des ravages dans le monde entier, car des millions de personnes seront directement touchées par l’élévation du niveau des eaux. Si vous ne vous sentez pas directement menacé par ces changements, il peut être difficile d’imaginer à quoi le monde pourrait ressembler à l’avenir.Climate Central, l’organisation qui étudie l’impact du changement climatique, notamment l’élévation du niveau de la mer et les inondations côtières, a créé une carte qui montre les régions du monde qui pourraient être menacées par l’élévation du niveau de la mer. Il faut garder à l’esprit que beaucoup de choses peuvent changer et que, dans l’idéal, les gouvernements pourraient enfin prendre des mesures concrètes pour faire face à la crise climatique. Toutefois, s’ils ne le font pas, ces études peuvent nous aider à nous préparer aux conséquences potentielles.

    La Cathédrale de la Havane,Cuba,actuellement en 2024.

     

    La même cathédrale en ajoutant 3 dégrés C de plus vers 2050 environ.

     

    Les climatologues ont rapporté en août que la température mondiale était déjà environ 1,2 degrés Celsius plus chaude que les niveaux préindustriels. Les températures devraient rester inférieures à 1,5 degré, disent-ils – un seuil critique pour éviter les impacts les plus graves de la crise climatique.

    Mais même dans le scénario le plus optimiste, où les émissions mondiales de gaz à effet de serre commencent à diminuer aujourd’hui et sont ramenées à zéro d’ici 2050, la température mondiale culminera toujours au-dessus du seuil de 1,5 degré avant de chuter.

    Dans des scénarios moins optimistes, où les émissions continuent d’augmenter au-delà de 2050, la planète pourrait atteindre 3 degrés dès les années 2060 ou 2070, et les océans continueraient de monter pendant des décennies avant d’atteindre leurs niveaux maximaux.

    Londres et le Buckingham Palace actuellement.

     

    …et avec 3 dégrés de plus dans quelques années.

     

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    ANNOTATIONS

    (a) Mon Conseil est cette entité qui m’envoie des messages dans mon sommeil profond.

     

  • La Vérité nous libérera

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    Questions que tout le monde devrait se poser :
    1- Que fait une pyramide égyptienne sur un billet d’un dollar américain ?
    2- Pourquoi 56 pays ont-ils signé un traité pour ne pas s’aventurer en Antarctique ?
    2b-Pourquoi  l’ancienne colonie et base secrète allemande de Neue Schwabenland a -t-elle été si longtemps  flouée sur Google Maps (à ses débuts)?
    3- Pourquoi les avions ne survolent-ils jamais l’Antarctique ?
    3b-Pourquoi l’Opération High Jump n’a-t-elle jamais  rendue public son rapport et les raisons de la mort de nombreux soldats américains (dans une pseudo expédition scientifique) depuis 1947?
    4- Comment la NASA a-t-elle « perdu » les images de l’atterrissage sur la lune, probablement l’un des moments les plus importants pour l’humanité
    5- Si Neil Armstrong a mis le pied sur la lune pour la première fois, qui tenait la caméra ?
    5b-Pourquoi la combinaison de cosmonaute de Neil Amstrong qui était exposée (couchée)  au Musée de l’Espace ,a-t-elle été enlevée de là quand une  personne a découvert que les traces de pas sur la lune ne correspondait pas à celles  en dessous des bottes de la combinaison de Neil Amstrong?
    5c-Comment Neil Amstrong aurait-il pu marcher si longtemps sur la Lune quand la sonde indienne Chandrayan a évaluée que la température dans un secteur plus au sud et moins exposé…est de plus de 40 dégrés celcius?
    6 Pourquoi ne sommes-nous jamais retournés sur la lune ?
    7- Si les singes ont évolué en humains, pourquoi les singes sont-ils encore des singes ?
    8- Comment existe 95% de l’ADN « ferraille » ? Qui a décidé que c’était en fait une « ordure » ?
    9- Comment des structures énormes, symétriques, détaillées, sacrées et géométriquement fixes telles que des cathédrales et des bâtiments parlementaires ont-elles été créées par des gens qui vivaient dans des cabanes en bois, montaient des voitures tirées par des chevaux et n’avaient pas de machines ou de lasers ?
    10- Comment se fait-il que cette même architecture pré-luanienne se retrouve partout dans le monde ?
    11 – Pourquoi y a-t-il des images dans l’art égyptien ancien qui semblent représenter des « vaisseaux spatiaux » ?
    12- Pourquoi les restes et les photos de gens géants sont-ils trouvés ? Et pourquoi différentes écritures anciennes parlent de géants de différentes cultures, dont la Bible ?
    13- Pourquoi y a-t-il des photos de champignons dans l’art chrétien ancien ? Et pourquoi papi s’habille-t-il comme des champignons géants Amanita Muscaria ?
    15- Pourquoi les œuvres d’art égyptiennes anciennes montrent-elles des mâchoires et est-ce une coïncidence que même la glande pinéale ressemble à une mâchoire ?
    16- Pourquoi y a-t-il des représentations de dragons partout dans le monde et dans différentes cultures à des milliers d’années d’écart et c’est aussi mentionné dans la Bible ?
    17- Pourquoi y a-t-il tant de symbolisme démoniaque audacieux dans l’industrie de la musique et du divertissement
    18 Pourquoi la plupart des jeux vidéo tournent-ils autour des meurtres ?
    19 – Comment est-il possible que des films et des dessins animés comme les Simpson soient capables de prédire certains événements culturels de manière aussi précise et précise ?
    20- Comment les feux de forêt font-ils fondre les voitures qui laissent les arbres intacts ?
    21 – Combien s’élève la dette nationale ? S’il y a un emprunteur, il y a aussi un Croyant : qui est-ce ?
    22- Comment se fait-il que la soi-disant « dette nationale » augmente malgré les hausses d’impôts ? Où va l’argent des contribuables ?
    23- Pourquoi l’intoxication régulière de l’alcool et du tabac est-elle considérée comme « normale » et euphémistiquement appelée « boire » et « fumer » ?
    24- Pourquoi l’alcool et le tabac sont-ils présentés dans presque tous les spectacles et films ?
    25- Comment les présentateurs de nouvelles du monde entier et sur différentes chaînes disent-ils et répètent-ils le même script à la lettre ?
    26 – Si nous sommes plus avancés et informés que jamais auparavant, pourquoi avons-nous les taux les plus élevés d’obésité, de cancer et de problèmes cardiaques, sans parler de dépression ?
    27-Pourquoi  ne pas mettre en état d’arrestation les créateurs des vaccins Pfizer et autres alors qu’il est prouvé qu’ils contiennent des parasites et divers  produits cancérigènes et autres inappropriés?
    28-Pourquoi est-ce qu’on empêche  des représentants de divers partis et organisations d’aller évaluer les réserves d’or à Fort Knox sur une base irrégulière aux USA?
    29-Pourquoi n’enlève-t-on pas le prix Nobel de la Paix remis à Barack Hussein Obama quand on voit qu’il a ouvert 7 fronts de guerre différents durant ses mandats…ce qui va à l’antithèse  d’un apôtre de la Paix?
    30-Pourquoi Justin Trudeau peut-il impunément  déclencher des élections truquées d’avance pour ne pas répondre à la question d’Erin O’Toole  sur les raisons de l’expulsion de deux scientifiques chinois du Canada,en 2021 (qui travaillaient  au centre de recherches bactériologiques de Winnipeg…sur le COVID)????
    31-Pourquoi n’y a-t-il rien d’écrit sur le droit…et le devoir du Peuple à s’armer et à renverser toute tyrannie qui prendrait le pouvoir ,au Canada…dans la Constitution Canadienne?
    32-Comment peut-on tolérer  que le Québec ait subit un si long confinement et nombres de pressions politiques pour obliger les citoyens à se faire vacciner  quand son pseudo premier-ministre,Francois Legault ,serait en conflit d’intérêts dans cette affaire?
    33-Pourquoi a-t-on relégué au sous-sol de l’université de Johannesbourg,en Afrique du Sud,l’une des plus importantes découvertes  scientifiques faites sur Terre,soit  un bloc de charbon contenant un clou en acier inoxydable remontant  à la formation du charbon?
    34-Si l’on vit en « démocracie »,pourquoi censure-t-on de nombreux sites internet qui se préoccupent de donner la vérité sur la coexistence entre une « possible civilisation humanoïde » et les dinosaures ,il y  a plus de 120 milions d’années?
    35-Si l’on vit en « démocratie » pourquoi n’avons-nous pas le droit à une opinion différente de celle du « système politique corrompu » dans lequel nous vivons?
    36-Pourquoi n’envoyons-nous pas dans une  asile psychiatrique les névrosés qui portent un masque dans leur salon,chez eux,tout seuls…ou ceux qui sont assis dans une chaloupe au milieu d’un lac…au nord du Québec,en train de pècher?
    37-Pourquoi les névrosés votent toujours pour leurs oppresseurs aux élections?
    38-Pourquoi  est-ce que j’ai l’impression de vivre sous un Dôme,au Québec,depuis l’époque de Pierre Elliot Trudeau?
    Je m’arrête ici…je pourrais écrire au moins 50 questions de plus!
    Vous êtes pas écoeurés de mourir…bande de caves!
  • Important message spirituel:Demain sera une date ultime pour toutes les formes de vie …sur Terre

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    Message reçu de l’au delà par télépathie

    Tout comme Maria Orsic ( et c’est pourquoi je me sens tellement proche delle et de sa vision spirituelle) quand je dors,je fais parfois des rêves qui restent dans mon esprit longtemps après mon réveil.Ce matin ,j’ai fait cette constatation à nouveau que je me suis mis à écrire, une fois bien éveillé.

    Ce matin,mon rêve a transcendé un événement qui m’a marqué dans ma vie:soit  la journée du 21 décembre 2012!Voici ma vision que j’ais par écrit après avoir longuement médité :

    Une grande Réinitialisation Spirituelle se fera

    Demain,le 28 mars 2023,se produira un certain alignement de plusieurs planètes qui aura la même influence que le 21 décembre 2012:une puissante attraction magnétique  poussant l’énerie du soleil vers la Terre en direction du Centre de Notre Galaxie Bien-Aimée!

     

    Cette énergie sera canalisée par de nombreuses civilisations dans l’espace qui s’en feront une immersion d’énergie,pour ensuite l’analyser!Beaucoup suivront  et se concentreront sur ce flux d’énergie ,dont la Nôtre  l’aura initialisé!

    Dans les années 1920,Maria Orsic,la Grande Prêtresse de la première Société du Vril ,était très « sensible »  au retour d’énergie en provenance d’Aldébaran!

     

    Moi,je vous dis ceci:

    Il faudra 2 000 ans pour voyager à travers ces bandes de haute fréquence de la ceinture de photons diffusées depuis le Grand Soleil Central. Lorsque nous sommes entrés dans le Verseau en 2012, il n’y avait pas d’autre choix que de changer. Une existence vibratoire plus élevée devait se produire. Chaque transition vers une nouvelle ère s’accompagne de changements globaux et de conditions météorologiques de plus en plus radicales.

    L’humanité est actuellement dans un chaos extrême, mais cela devrait avoir un sens pour vous tous. Lorsque vous passez d’une existence à faible vibration à une existence à haute vibration, vous allez ressentir des frictions. C’est-à-dire que nous vivons une expansion incroyable et que certains résisteront. C’est ainsi que naissent de nouvelles réalités. C’est ce que nous voyons avec tout le chaos mondial. Tous les signes historiques d’une civilisation qui s’effondre sont extrêmement évidents.

    Rappelez-vous, nous passons 2 000 ans à chaque âge, ce qui signifie que nous passons 2 000 ans dans chaque constellation et chaque constellation émet des fréquences différentes, ce qui signifie une réalité totalement différente. Une toute autre chronologie. Cette lumière photonique supérieure transmet une conscience supérieure dans notre ADN.

    Au cours de cette période de 2 000 ans du Verseau, nous absorberons cette lumière photonique supérieure et tout l’ADN humain développera un modèle d’intelligence supérieure. Nous vivons actuellement une réinitialisation globale. Chaque fois qu’il y a un nouveau départ, il apporte avec lui la conclusion de toutes les conditions obsolètes, donc l’ancienne structure s’effondrera.

    Beaucoup disent que nous sommes dans l’année de l’Ascension physique ? On assiste à la révélation de tous les déséquilibres qu’il faut corriger. Les fréquences de distorsion plus basses et plus denses s’effondrent et seront remplacées par une ligne de temps plus harmonieuse et plus élevée, il n’y a pas d’autre option. Vous pouvez voir cela se produire actuellement avec la population humaine et toutes les structures sociétales. Alors que dans l’effondrement et l’expansion continus, nous voyons l’Univers, qui est la vie, se recréer.

    Les porteurs de lumière, les travailleurs de la lumière sont placés stratégiquement sur toute la planète avec pour mission de déstabiliser tous les systèmes de contrôle. C’est votre but, c’est pourquoi vous êtes ici et c’est votre dévouement spirituel. Nous vivons actuellement une élévation de conscience angélique pour nous préparer à cette Ascension.

    Nous vivons actuellement des choses extrêmes à l’échelle mondiale. Nous sommes à une époque de nouvelles découvertes, de nouvelles innovations et de nouvelles idées. Cela signifie que nous, en tant qu’espèce, vivons un éveil massif face à l’inconnu.

    Du fond de l’éther lointain,mon Conseil m’a interpellé que nous devons attendre la venue de nos Créateurs ,de Ceux qui nous ont élevé dans la Vie!

    Si vous craignez le monde,la Jungle qui semble se former autour de nous:assoyez-vous sur un tapis de méditation (ou sur une surface neutre) et méditez sur Vous-mêmes…et vous y trouverez  en suivant un Grand Canal,un Grand Réseau ,même un Fleuve d’Émissions qui vient de ce Centre Galactique dont une multitude de communications venant de nos Peuples Frères de l’Espace qui cherchent actuellement à nous contacter!

    Ce message qui m’est venu à l’esprit est une masse d’amour et de Paix  constructive: une Grande Marée Spirituelle qui s’ouvre à nous!

    Péparons-nous à les accueuillir en les acceptant dans nos Consciences et nos Ames !

    Merci d’avoir pris le temps de me lire!   

     

     

     

     

     

  • La bataille de Los Angeles 1942 : nouvel éclairage sur l’image originale

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    Alors que le président dormait à Washington, un énorme vaisseau spatial extraterrestre est apparu au-dessus de Los Angeles aux premières heures du 25 février 1942. Pearl Harbor venait d’être attaqué quelques mois auparavant et il y avait une véritable peur des raids japonais sur la côte ouest de l’Amérique. Mais c’était autre chose.

    À Culver City et Santa Monica, cet énorme objet est apparu dans le ciel vers 2 heures du matin, heure locale. Quelques minutes plus tard, les sirènes de l’air ont rompu le silence, une panne d’électricité a été déclenchée et les citoyens de Los Angeles ont regardé le ciel avec peur. Bientôt, les gardes de l’air et l’artillerie locale étaient en action alors que les forces défensives étaient brouillées.

    Alors que les lumières de recherche rayonnantes traversaient le ciel nocturne, ils ont tous commencé à converger vers une seule chose. Un objet géant non identifié, décrit par certains comme une énorme lanterne suspendue dans le ciel. La 37e brigade d’artillerie côtière de l’armée a illuminé l’obscurité en bombardant l’objet pendant plus de 30 minutes. Des centaines et des centaines de coups ont été dépensés pour tenter de faire tomber l’objet. De nombreux citoyens ont été blessés lorsque des fragments d’obus sont tombés à travers Los Angeles et, tragiquement, un petit nombre de citoyens (6) ont perdu la vie.
    L’objet a finalement glissé au-dessus de Long Beach et a glissé hors de vue sur les collines de Palos Verdes alors que les canons se taisaient.

    Eh bien, c’est la tradition OVNI concernant la « bataille de LA ». Je suis sûr que beaucoup d’entre vous connaissent l’histoire ou du moins la connaissent vaguement. C’est probablement l’un des cas d’OVNI les plus célèbres du monde anglophone et il est antérieur à l’histoire de Roswell.

     

    Bon point – je ne voulais pas non plus vraiment composer un gros fil. Eh bien… Je déteste les gens qui publient une vidéo et une ligne de texte, puis qui s’effondrent aussi… en s’attendant à ce que tout le monde fasse le travail. Et ce sont les règles.

    Donc – L’épisode traite de la bataille de Los Angeles 1942 (parmi d’autres cas d’OVNI de LA) et se penche sur deux éléments de preuve majeurs concernant cette affaire.

    • L’analyse montre que le négatif original ne provenait pas de la même pellicule que la fameuse photo « améliorée » utilisée dans le LA Times le lendemain. En fait, il semble qu’elle n’ait pas été prise par un photographe du LA Times.

    • Analyse d’un document militaire officiel détaillant cet événement :
    The History of the 4th AA Command, Western Defence Command, 9 janvier 1942 au 1er juillet 1945

    Analyse du négatif

    Ci-dessus : Le Los Angeles Times a utilisé cette image à plusieurs reprises. Il s’agit d’une version retouchée de la photo du projecteur créée par les artistes du Los Angeles Times. C’était une pratique courante dans l’industrie du papier journal de l’époque. Principalement en raison de la détérioration de la qualité des photos une fois qu’elles ont été imprimées dans les journaux.

    La plupart d’entre vous connaissent cette photo utilisée pour illustrer la « Bataille de LA ».

    Une autre photo du Herald Examiner existe également :

     

    Voici le négatif qui a été utilisé pour l’amélioration dans le LA Times:

    Comme nous pouvons le voir, c’est beaucoup moins clairement défini et il peut y avoir quelque chose au centre des faisceaux qui les reflète. Ce n’est pas facile à dire.

    Ce qui est intéressant, c’est que, tout en recherchant le négatif original stocké à UCLA, l’archiviste Simon Elliott mentionne que l’encoche sur le négatif ne semble pas provenir de la pellicule que les photographes du LA Times utilisaient à l’époque.

    Donc, si ça ne vient pas de l’équipe de photographie du LA Times, d’où vient-il ?

    Ensuite, les photos ont été analysées par l’ancien photographe du LA Times et expert en imagerie George Reis. Il conclut que les photos du LA Times utilisées ont été copiées à partir du « négatif original » après avoir utilisé un logiciel informatique pour le prouver. Il déclare ensuite que le négatif original peut être mis en correspondance avec un film « Kodak Fine Grain Positive » et que cela est « très révélateur d’une copie négative ».

    Ainsi, ce qui était considéré comme le négatif original est en fait une copie selon Reis.

    Cela jette beaucoup de doutes quant à ce que nous montre exactement la célèbre image de « Battle of LA ».

    Non seulement nous ne savons pas qui l’a pris et s’il a été retouché ou non.

    L’histoire du 4e commandement AA

    Le document officiel suivant est également examiné dans ce documentaire.
    L’histoire du 4e Commandement AA, Commandement de la Défense de l’Ouest, du 9 janvier 1942 au 1er juillet 1945

    Il semble y avoir beaucoup d’informations contradictoires de témoins concernant divers phénomènes aériens dans le ciel au-dessus de Los Angeles. Même s’il est expliqué dans l’émission que les États-Unis ont détecté quelque chose s’approchant de la côte ouest pour mettre les forces en alerte dans le programme télévisé. (voir extraits ci-dessous)

     

     

    Cependant, le programme de recherche gouvernemental se concentre sur l’existence d’un rapport faisant état d’un avion abattu dans le secteur des rues 180th et Vermont.Un effet de coïncidence  vraiment  étrange au moment ou de nombreux chercheurs se penchent sur cette affaire troublante!

     

    Apparemment, cela a également été confirmé par le 77e arrondissement du LAPD, la marine américaine et un rapport dans la presse locale – clip ©LA Examiner.

     

    Les Japonais n’ont jamais admis des opérations dans la région le 25 février 1942 et le programme explore alors la possibilité qu’il s’agisse d’un avion américain expérimental abattu.

    Nous avons également quelques témoins qui étaient des enfants à l’époque qui racontent leurs histoires et Bob Wood qui discute d’un document MJ12 concernant l’affaire. Ce dernier n’est pas traité comme une preuve sérieuse car sa provenance est impossible à vérifier.

    En fin de compte, cela nous laisse avec des questions plutôt que des réponses.

    Je n’ai pas examiné cette affaire en détail et je suis conscient qu’il existe un certain nombre d’autres fils de discussion qui ont discuté de la bataille de LA depuis des années ici. Mais en ce moment, je n’ai vraiment pas le temps de les parcourir !

    Donc, étant donné que l’authenticité des négatifs (et par défaut la source de la célèbre photo) est maintenant remise en question, est-ce que l’un d’entre vous, peut-être avec plus de connaissances sur cette affaire, souhaite développer cela ?

    Selon vous, que se passait-il en 1942 ?

    Pour vous  aider voici des  photos et clichés qui ont  marqué les recherches sur cette affaire:

    Extrait de la page 2 du Los Angeles Times…Il s’agit de la photo principale,.

     

     

    Exposition de l’objet aux couleurs inversées au centre de la photo afin de faire apparaître des détails cachés par la lumière des projecteurs.On voit très bien l’engin en forme de disque..

     

    Agrandissement de l’object au centre de la photo.

     

    Agrandissement maximal du centre de la photo.On voit très bien les obus se heurtant sur ce qui semble être un bouclier magnétique….qui était totalement inconnu en 1942.
    On voit aussi que l’object dispose d’une coupole au sommet.

     

    La une d’un journal de Los Angeles,le lendemain de l’incident.

     

    Des éclats d’obus qui ont pénétrés dans une maison.

     

    La page couverture du magazine Life de Mars 1942 parlait de ballons de protection sur les côtes américaines:Les reportages contemporains portaient tous sur les rapports contradictoires de la nuit et les « nerfs de la guerre ». Il n’y a aucune mention de quiconque soupçonnant qu’il s’agissait d’un vaisseau spatial extraterrestre en 1942. Par exemple, j’ai trouvé cette pièce quelques semaines après l’événement .

    CONCLUSION ACTUELLE MAIS NON DÉFINITIVE

    Dans les heures précédant l’aube du 25 février 1942, des batteries anti-aériennes du district de Los Angeles ont craché plus de 1430 coups de feu étincelants dans le ciel – et  personne ne savait…sur quoi on tirait,mais une chose est sure:si cela aurait été un ballon ou un avion,il se serait  écrasé en flammes après avoir  fait entendre une explosion!

    Donc,la théorie de  l’armée US et de certains journalistes a été vite écartée dès le départ!

    Page intérieure du Los Angeles Times,le lendemain de l’affaire.
    L’enquête se poursuit!

     

     

     

     

     

     

     

  • Mystères de l’histoire: »Insubmersible Sam »,le chat héroïque de la Deuxième Guerre Mondiale

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    Insubmersible Sam,le héros!

     

    Les chats de bateau sont des incontournables pour la vie en mer…depuis une époque lointaine.

    Saviez-vous que pendant la 2e GUERRE MONDIALE les troupes alliées ont coulé le navire allemand Bismarck avec 2200 soldats à bord. Parmi les survivants, il n’y avait que 115 personnes et un animal, les Anglais ont trouvé un chat flottant qui voyageait sur le Bismarck.
    Ils l’ont sauvé et lui ont donné le nom de «L’insubmersible Sam», devenu membre de l’équipage du navire anglais. Ce navire a aussi été attaqué et Sam a survécu à nouveau.
    Le chat a été transféré sur le porte-avions HMS Ark Royal qui, par hasard, a aussi été détruit et étonnamment le chat « Sam » a survécu à nouveau. Sam, qui avait déjà gagné de la sympathie et de l’admiration, a pris sa retraite de ses devoirs militaires, se retirant à la campagne en Angleterre où il a vécu 14 ans de plus.

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    Voici toute l’histoire

    Il existe des animaux qui ont eu la chance d’avoir un destin incroyable. Celui qu’on appelle Sam l’insubmersible en fait partie. Ce chat noir et blanc est entré dans les annales pour avoir survécu au torpillage de trois navires de guerre.

    C’est sur ce puissant cuirassé de la flotte du Troisième Reich que notre chat héroïque,Insubmersible Sam,a commencé sa carrière comme chat de bateau. 

     

    Un marin du Bismark qui était peintre a ses heures en fit cette superbe toile qui immortalise ce chat héroïque!

     

     

    Le périple de Sam, également connu sous le nom d’Oscar ou Oskar, a commencé durant la Seconde Guerre mondiale. Après avoir pris le large à bord du cuirassé allemand Bismarck en 1941, ce chat a été transféré sur deux autres navires différents avant de retrouver la terre ferme.

    Cette photo culte du chat « Insubmersible Sam »,fit le tour des journeaux du Commonwealt,a l’époque!

     

     

     

    Vous connaissez l’adage selon lequel les chats ont neuf vies ? Nous savons que Sam en avait au moins trois. Ce chat noir et blanc qui a servi sur des navires de guerre de  l’Axe et des Alliés a survécu à trois naufrages en 6 mois…

    Surnommé «Sam l’insubmersible» (Unsikable Sam), ce chat de navire a servi avec la Kriegsmarine nazie et la Royal Navy britannique pendant la Seconde Guerre mondiale. Trois des navires sur lesquels il était l’animal de bord ont été torpillés et il a miraculeusement survécu aux trois naufrages.

    Sa première croisière était sur le légendaire cuirassé allemand  Bismarck. Il embarqua avec un membre d’équipage auquel il appartenait en 1941 alors qu’il quittait l’Allemagne pour faire des ravages sur la flotte britannique dans l’Atlantique Nord. Le Bismarck a  été coulé après un combat contre un porte-avions, trois cuirassés, trois croiseurs et six destroyers. Seuls 114 des 2200 membres d’équipage du navire ont survécu. Oscar (le vrai nom de «Sam l’insubmersible») a été retrouvé flottant sur une planche par le destroyer HMS Cossack , et recueilli par l’équipage britannique.

    HMS Cossack en 1941

    Après avoir servi sur le HMS Cossack pendant des mois, Oscar a été adopté par l’ensemble de l’équipage. Un jour, en service d’escorte près de Gibraltar, le HMS Cossack a été torpillé par un sous-marin allemand et a été fortement endommagé, l’explosion initiale arrachant le tiers avant du navire et tuant 159 membres d’équipage, mais Oscar survit. Bien que des tentatives aient été faites pour remorquer le navire au port, les conditions météorologiques l’ont rendu impossible et le navire a été abandonné avant de couler à l’ouest de Gibraltar.

     

    Ayant maintenant gagné son surnom «Insubmersible», Sam est transféré sur le porte-avions HMS Ark Royal qui, fruit du hasard, avait permis la destruction du Bismarck cinq mois plus tôt.  Le  alors qu’il rentre sur Malte en Méditerranée, ce navire est également victime d’un sous-marin allemand, qui le torpille. De même, les tentatives sont pour remorquer le HMS Ark Royal à Gibraltar échoueront. Le porte-avions donne de la gîte et, à 30 milles de Gibraltar, se met à couler, suffisamment lentement toutefois pour permettre à tout l’équipage — sauf une personne — d’être sauvé. Sam est à nouveau retrouvé accroché à une planche flottante.

    HMS Ark Royal en train de sombrer lentement.

    Sam a survécu, mais ses jours en mer étaient terminés. D’abord transféré au service du gouverneur de Gibraltar, il sera par la suite envoyé au Royaume-Uni où il passera le reste de sa vie dans la Maison des marins de Belfast et meurt quatorze ans plus tard, en 1955.

     

    Merci pour votre service, Sam….vous resterez dans nos mémoires a jamais!

     

     

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